Recceuil de lettre de miss White

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Aurore White et ses lettres.
Pourrait contenir certain propos choquant et inapproprié pour les gens de 16 et moins xD (j’avertis)
Cette lettre est adressée à mon cher Hara.

Ho, mon tendre Hara, voici déjà la 50e lettre que je vous écris. Voilà déjà 50 semaines que je vous ai quitté 50 semaines où vous n’avez pas pris le temps de me répondre, de m’adresser la parole, 50 semaines où je vous ai partagé ma vie et mes inquiétudes et mon manque de vous. Ceci sera surement la dernière lettre que je vous envierais puisque qu’un jour il faut passer a autre chose. Mes parents m'ont finalement placé dans une excellente académie au Japon. Ils ont surement utilisé le Jet privé pour m’y emmener durant le temps où j’étais tombée inconsciente. Qui sait? C’est une excellente question à poser à Jayson. Mais tel n’est pas la question, puisque la raison principale qui me pousse à vous écrire pour une dernière fois est que dans cette académie j’ai rencontré quelqu’un. Cette personne est devenue, en l’espace de quelques heures, un tendre ami. Il est vrai que je ne connais encore presque rien de lui, mais j’ai éprouvé pour la première fois depuis vous cette sensation de bien-être dans les bras de quelqu’un. Je crois bien qu’il a réussi à atteindre mon cœur. Saviez-vous que dès le premier rendez-vous il fallait se donner à l’autre physiquement? Du moins, c’est ce que ce dernier m’a dit. Je ne comprends pas encore très bien les coutumes des gens de l’extérieur, mais j’ai adoré me lier pour la première fois avec lui. Eliott est quelqu’un de bien, je vous l’assure, tout comme nous il est sophistiqué, aimable et serviable. C’est un bon garçon, plein de vie et de joie. Je l’aime énormément et je suis sûre que vous, vous entendriez à merveille vous et lui (oui, oui, c’est ça, comme si tout était rosse, elle n’est pas du tout naïve). Peut-être pourriez-vous venir nous rendre visite un de ces jours. Sacher que je vous accueillerai toujours à bras ouverts, mais je vous fais tout de même mes derniers adieux. Adieux, Mon tendre amant.
Votre chère et tendre Lady, Miss Aurore White

*Aurore relut la feuille plusieurs fois. Ses larmes mouillaient la lettre qu’elle venait d’achever. Cette histoire avait pris techniquement fin il y a presque un an lorsqu’après quelques jours, elle dut déjà le quitter, mais elle avait toujours espéré recevoir une lettre de sa part ou même une visite ou du moins un court coup de fil. Elle avait écrit cette dernière lettre à la suite de sa première liaison avec Eliott. Se sentant coupable et ne voulant pas pour une fois raconter toute son histoire à Hara elle n’écrivit que ces quelques lignes de la 50e semaine qui venait de s’écouler. Les yeux encore rougit pas ses larmes, elle sortit de sa chambre en courant avec la précieuse lettre qu’elle tenait entre ses mains. Elle descendit les escaliers vite fait et arriva devant la boîte aux lettres. Avant de poster le tout, elle s’assura d’y avoir inscrit toutes les informations nécessaires, elle vérifia même si le timbre y avait été collé. Elle glissa donc la lettre dans la boîte a mal et alla rejoindre son chéri devant le plus beau cerisier de tout le campus. Sourire aux lèvres elle se dit pour la dernière fois *cette histoire est à présent bel et bien terminée.

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C’est ainsi que s’acheva l’histoire de l’ancien amour cacher de notre chère et tendre Lady. Fermant la porte de son cœur à un ancien amour et la ré ouvrant a son nouveau prince charmant. La vie est ainsi faite, lorsqu’une histoire d’amour s’achève c’est que quelqu’un d’autre a pénétré dans notre cœur.

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Cette lettre est adressée à ma tendre mère et a mon respecté père

Cher parent,
Je vous écris en ce jour afin de vous rassurer sur ma santé. Lorsque je me suis réveillé dans l’infirmerie de Nakunaru, j’ai appris à mes dépens que vous m’y aviez inscrit afin que je puisse apprendre à contrôler mon pouvoir. Ne vous en faites plus, je suis tout à fait heureuse ici, j’ai déjà rencontré plusieurs personnes de mon âge. Je ne vous en veux pas du tout, je tenais même à vous remercier puisqu’ici je me sens comme au manoir excepté le fait que je n’ai plus de domestique ni de charmant couturier. Toute foi il y a plusieurs cerisiers sur le campus et les chambres son assez simple et petite, mais grâce à l’argent que vous m’avez laissé je la décorerais bien assez tôt. Autre nouveauté, je devrais aussi partager ma chambre avec une camarade féminine, or le problème et que je ne connais aucune jeune fille et récemment j’ai remarqué que je lévitais pendant mon sommeil. Évidement personne ne connais mon pouvoir appart Eliott, un jeune gentleman, mais ne vous inquiéter pas, lui aussi possède un don qu’il m’a lui-même fait découvrir. Je serais ravie de vous le présenter. Il est si sophistiqué et bien présenté même s’il n’est qu’un simple prolétaire qui soit dit en passant obtient d’excellents résultats académiques. Je n’ai pas encore visité le campus en entier, mais je dois dire que malgré cela je me sens en sécurité ici avec Eliott. J’en profite, aussi cher parent pour vous remercier des robes que vous m’aviez laissé, j’ai bien lu votre lettre et j’ai hâte de recevoir les nouveaux modèles des robes que Jayson m’a fabriqués. Pour l’instant, je n’ai pas encore reçu mon horaire de cours, mais cela ne devrait pas être long. Madame Sullivan, mon infirmière, m’a appris qu’ils (l’académie) comptaient me laisser me reposer quelques jours encore afin d’être sûr que je m’adapte mieux à la présence de camarade de classe, puisque je n’ai jamais étudié avec d’autres adolescents de mon âge. J’espère recevoir bientôt de vos nouvelles ainsi qu’une visite lorsque je serais mieux installé afin de vous présenter ce cher Eliott.

Avec mes sentiments les plus distingués, votre chère fille qui vous aime Miss Aurore White.

P.-S. Mère, je vous promets de faire des recherches sur la disparition de mon cher frère ainé et remercier bien de ma part Jayson pour les robes qu’il va m’envoyer et la pâtissière pour ses excellents biscuits aux pépites de chocolat. Ha j’allais oublier pourriez-vous me dévoiler si dans cette école tout le monde a un don, il me serait ainsi moins pénible de savoir si je peux ou nom dévoiler mon don aux gens que je rencontre, déjà que je réussis assez difficilement à cacher ma richesse et mon rang social dans la monarchie londonienne puisqu’ici peu de gens parlent aussi sophistiqué que moi.

— bisous —

*c’est ainsi que s’acheva la première lettre qu’Aurore écrit a ses chers parents en destination de Londres. Sourire aux lèvres et regard pétillant, elle finit de coller les nombreux timbres et descendît en toute hâte les escaliers. Arriver devant la boîte à mal elle posta la lettre puis s’en retourna dans sa chambre ou Eliott l’attendait.