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 Emma Oneglia ~

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Anonymous
Invité

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Emma Oneglia ~ _
Message Sujet: Emma Oneglia ~   Emma Oneglia ~ Icon_minitimeDim 29 Jan - 13:18


DOSSIER DE Oneglia Emma

Emma Oneglia ~ Emma3j

Emma Oneglia ~ Emma4o
Emma Oneglia ~ Emma2c

Emma Oneglia ~ Emma5v
Feat; Konan [stylisée], Naruto.
« Surnom(s) : Emma, ça suffira.
« Age : 20 ans.
« Métier : Serveuse dans un bar
« Type : Carreau
« Pouvoir{s} : Télékinésie.
« Adjectifs : Paranoïaque ; Maladroite ; Froide ; Egoïste ; Têtue ; Hyperactive ; Franche ; Dévouée aux personnes qu'elle aime.
« Secret:
Spoiler:






&.Caractère


« Si tu prenais la peine de m’ouvrir le cerveau, je te jure que ce que tu y verrais t’ébranlerai. Je vais être claire : je suis une emmerdeuse notoire qui ne fait rien pour arranger sa condition. Et ça, ça a toujours été de même. Sauf qu’avant, on le disait plus subtilement. Par exemple, on faisait croire que j’empoisonnais la vie des autres car j’étais hyperactive : « mais ça passera, vous verrez ».
Tu parles d’une connerie. Je suis chiante parce que je fais tout pour ; il n’y a rien de gratifiant à être sympa, à part devenir un aimant à emmerdeurs. Emmerde les autres si tu ne veux pas être emmerdé, c’est ma devise. A sept ans, je l’appliquais déjà : j’étais le genre de gamine hyperactive, casse-cou et toujours prête à foutre les autres dans la merde. Les gens respectables et respectueux diraient que j’étais une gamine « joyeuse ». Les autres répliqueraient aussitôt que j’étais une putain d’emmerdeuse. Et je l’étais, je ne reviens pas dessus. Mais avec la mère que j’ai eue, faut m’excuser. J’aimais énormément mes parents, mais faut dire que ma mère, il lui passait souvent des bulles. Pour ce qui est de l’héritage paternel, on peut dire que j’ai hérité de ses talents de musicien.

Et maintenant ? Je ne suis plus tout à fait cette gamine qui riait aux éclats après ses mauvais coups. Non. Comme les vieux, je me suis aigrie : tu me touches, je te butte. La distance minimale de sécurité, c’est cinq mètres. Ce n’est pas que je déteste les gens mais ils m’emmerdent tous. Les problèmes familiaux, de cœur, d’amitié, c’est bien gentil mais moi, je m’en contre-fous. J’ai aussi les miens et j’y reviendrai plus tard. Bref, à dix neuf ans je suis la même qu’à dix ans sur certains points: je m’enflamme dès que les choses tournent mal, je fonce toujours dans le tas et surtout je… Ben je rêve encore du prince charmant. Quelle connerie, j’te jure.

Bien sûr, je ne suis pas toujours agressive. Je peux même être charmante -si bien sûr tu tiens la limite de sécurité. Mais je n’ai pas toujours été comme ça. Je te l’ai dit tout à l’heure, j’étais joyeuse avant. Chiante mais joyeuse. Maintenant je suis chiante et triste. Le dix novembre, à mes onze ans, mes parents ont disparu. Un accident de voiture, y' parait. Un coup comme ça, ça te fait vite grandir. De la gamine vivant au jour le jour, je passais à la fille ne vivant que dans le passé avec pour seule espérance qu’on me fiche la paix. Egoïste et têtue. Oui, je crois qu'on peut me décrire comme ça. Bien sûr, je cumule tous les défauts d'une fille banale : cassante, chiante, gourmande et rêveuse. C'est très dur à vivre pour mon entourage mais je m’en fous. […] Il me semble que j'ai aussi des qualités, quand on creuse bien. Mais vraiment si on creuse bien. Tu sais, il faut bien se faire une carapace, sinon on se brise. Ma mère disait toujours cette phrase que je n'ai compris qu'après sa disparition : « A se cogner la tête contre les murs, il ne vient que des bosses ». Je crois que c'est comme ça que je surmonte les obstacles: mon monde se casse la gueule, ça me fait mal mais je ne courbe pas l'échine. A quoi ça servirait de toute façon... ? Ce n'est pas comme si j'avais le choix. Sinon... On va dire que je suis quelqu'un de dévoué aux personnes que j'aime. Un jour, Sun m'a dit que j'étais courageuse. J'ai essayé de comprendre, sans résultats. Ca m’aurait pas étonné qu’il se foute de ma gueule. Oh, j'oubliais : je suis parano et susceptible. Maintenant que je dresse ma peinture devant vous, je me rends compte à quel point je parais sympathique. Il ne vous reste plus qu'à juger. Mais n'espérez surtout pas que je vous offre un café pour qu'on discute ; je n'ai soif que lorsqu'on m'invite. »


&.Physique

« Les personnes qui ont connu ma mère auraient donc pu me confondre avec elle. Mais elle est morte. [...] J'ai le même physique, le même caractère de merde qu'elle. Seulement voilà, j'aurais aimé recevoir un peu plus de mon père. La seule chose que je tiens de lui, c'est son teint : à la différence de ma mère, ma peau est caramélisée.

J'ai eu le choix entre les cheveux blonds et les cheveux roux, les yeux gris et les yeux bleus. Mon père était beau, je voulais lui ressembler. L'alchimie en a voulu autrement : j'ai eu les yeux en amande de ma mère et la couleur bleue-verte de mon père. J'ai eu les cheveux raides de mon père et la couleur rouge de ma mère. Mais voilà, j'aime pas les cheveux roux. Du coup y'a quelques jours, j'ai décidé de les foutre en noirs. Ma mère m'aurait très certainement arraché la tête. [...] Enfin bon, avant ma coloration l'ensemble n'était pas trop désagréable, je ne pouvais pas m'en plaindre. C'est juste que pour les gars, les rousses, c'est des cochonnes. Rien de pire pour me rendre furieuse. […] Depuis mes dix ans, j'ai un peu grandi, forcément : si jadis, j'étais grande pour mon âge, l'espoir d'avoir des belles longues jambes s'est vite écroulé : je mesure 1 m 70 si je triche un peu en me redressant sur la pointe des pieds. Sinon vous l'avez deviné, je mesure à peine 1 m 65 .

Quant à mes yeux... Mes yeux. Ils ne laissent apparaître ni mes sentiments, ni même intentions et ils ne changent pas de couleur lorsque mon humeur s'altère, ou autres conneries de ce genre. Ils sont normaux. Je l'ai dit tout à l'heure, ils sont bleus-verts. Ni bleu océan, ni vert forêt. Bleus-verts, tout simplement. Je ne pourrais pas vous les décrire, je ne passe pas mon temps devant le miroir le matin. Je sais simplement qu'ils sont entre le foncé et le clair et qu'ils sont en amandes. Héritage de mon père et de ma mère. Pour le reste, mon corps est fidèle à celui de ma génitrice : les courbes de mon corps sont pas trop mal dessinées et je ne suis pas une planche à pain -mais comme toutes nanas, j'aurais aimé en avoir plus. Je n'ai pas à me plaindre, j'ai du succès. Mais j'm'en fous. Ou pas, en fait. De la chieuse qu’on veut écarter, je suis passée au genre de femme qu'on aimerait avoir dans son lit. Tu parles d'une évolution. »


&.Histoire


« Bordel. Pour certain, la vie est une scène. La mienne de vie, c'est tout simplement un pur et immense bordel. Et j'aime tellement ça que je rajoute un petit peu de ma merde dans la vie des autres... »


Like a Star @ heaven Enfance ( 0 – 10 ans )

Dès son plus jeune âge, Emma avait déjà compris que sa vie serait pourrie. A quatre mois, elle avait réussi à prononcer son premier mot : bordel. Etrange ironie pour celle qui vivrait par la suite dans un désordre sans nom. A deux ans, elle parvenait à se mettre à genoux tout en se mettant les doigts dans le nez. A cinq ans, elle parvenait à réciter l’alphabet français à l’envers. L’endroit de l’alphabet, par contre, ne semblait pas trop l’intéresser : « Ma première langue, c’est le français, pas l’italien. Ma mère était française. Elle a donc jugé utile de m’apprendre cette langue alors qu’on habitait en Sicile. Vise un peu la logique. ».

Bien que ses relations aient été plutôt tendues avec sa mère à cause d’un complexe d’Electre qui ne parvenait, et ne parvient toujours pas à s’éclipser, ses relations avec son père, elles, étaient très étroites. Son père, c’était son père. Personne ne pouvait y toucher. Pas même sa mère. Et c’était bien là le problème. La seule façon pour Catherine d’obtenir quelque chose de sa fille, c’était de prononcer le mot magique, Papa. Une fois ce dernier prononcé, Emma s’exécutait, comme par enchantement. C’était d’ailleurs ainsi que la jolie rousse était parvenue à convaincre sa fille de jouer un instrument : « Tu sais Papa, il aime la musique. ». Aussitôt dit, aussitôt fait, la jeune fille s’inscrivit dans une école de musique et, histoire que son père l’aime encore plus, elle n'avait pas choisi qu’un seul instrument. Non. Toujours dans l’excès, elle avait décidé d’apprendre le violon, l’accordéon et la flûte traversière. Son père, musicien et un peu méfiant, lui avait proposé qu’elle laisse momentanément tomber deux de ces trois instruments parce que « c’est trop compliqué d’apprendre plusieurs instruments en même temps ». Si elle n'avait été pas aussi jeune et naïve, peut-être aurait-elle compris que son père ne voulait tout simplement pas se faire briser les tympans par les essais infructueux de sa fille. Néanmoins, prenant ses paroles comme un défi, la gamine ne revint pas sur sa décision, et, pendant les trois ans qui précédèrent leur mort, Catherine et Antonio avaient eu la chance inouïe de profiter des premières années de musique de leur fille, entre mauvaises notes et énervement : « Si à l'époque je ne m'en rendais pas compte, c'est quand même grâce à ma mère que j'ai découvert ma passion pour la musique. Mon père, lui, ne voulait pas m'embarquer dans ce beau bordel qu'est la vie de musicien. Remarque que j'ai quand même sauté dedans les pieds joints. A croire que je cultive les emmerdes. [...] »


Like a Star @ heaven Adolescence (11-18 ans)

« Qu’on se le dise dès maintenant : je ne veux ni votre pitié, ni votre amitié, je ne veux rien et ne donnerez rien ; ne pensez pas que si vous écoutez mon histoire, j’écouterais la vôtre. Je m’en fiche pas mal de vos petites peines. Sachez qu’il pourrait se passer n’importe quoi dans votre putain de vie, je m’en tamponnerai toujours l’anus avec un spaghetti… Je n’ai pas besoin d’amis. Je me suffis entièrement à moi-même. […] »

« Ça vous intéresse quand même ? Je ne vous comprends pas. Mais c’est pas plus grave ; après tout, ce n’est pas mon boulot de comprendre. Ce jour-là, je jouais dans le jardin avec mon ami d’enfance, Guido. Le gars qu'est venu nous garder était soi-disant mon parrain… Sauf que j’l’avais jamais vu avant. J’vais pas te dire que je trouvais ça bizarre. J’avais onze ans, pas vingt. Bref, j’uis restée à la maison et j’ai joué avec Guido au gendarme et au voleur. Pis vers seize heures, y’a un type en costume bleu qu’est venu et m’a emmenée au poste de police. J’me suis débattue, tu penses bien. Deux heures plus tard on me foutait dans les bras d’une nana en me disant : ‘t’as intérêt à l’emmerder’. A ce moment-là, je ne comprenais rien et je passais mon temps à brailler. Mais lorsque deux jours plus tard je suis allée à l’Eglise et que ça sentait le pin, j’ai enfin compris. J’peux même pas te dire combien j’ai eu mal. J’étais annihilée. Non pas déchirée, ni même brisée, j’étais carrément plus rien. Tout c’était barré en-dedans de moi. Le choc a été si violent que je n’ai même pas pu soutenir deux minutes l’ombre des cercueils de mes parents. Je suis tombée dans les pommes. »

« Quand je me suis réveillée, j’étais dans cette école. L’académie Nakunaru. Je ne sais pas comment j’ai pu atterrir ici mais en tout cas, à mon réveil, il y avait la même bonne femme qu’au poste de police. J’avais beau hurler, chialer, taper du pied par terre, elle ne voulait rien me dire sur la mort de mes parents. Au bout d'un moment, j’ai craqué. J’ai prié de toutes mes forces pour que cette salope s’écrase contre le mur si violemment qu’elle ne s’en relève pas. A peine l’avais-je pensé que la jeune femme se retrouva projetée sur le mur. Tu ne peux même pas imaginer comment j’ai hurlé. J’ai pensé qu’elle était morte, que je l’avais tuée. Mais elle s’est relevée. Et puis, dans un italien hésitant, elle m’a alors dit que j’étais dans cette école pour apprivoiser ce don. J'ai voulu refuser l'invitation. Mais ce n'est pas comme si on m'avait donné le choix... »

« J’ai donc passé les sept années suivantes à étudier dans cette école. Je n’ai pas laissé tomber la musique, au contraire. Pour tout te dire, c’est même un peu ma seule raison de vivre. Si ma flûte, mon violon et mon accordéon me quittaient, je peux te dire que je n’aurais plus qu’à me pendre... Bon bien sûr, il y a aussi Sun. Mais ce n'est pas pareil. Déjà, c'est un humain. Et tu sais que je n'aime pas les humains, à part quand il s'agit de (dé)coucher. Je ne les aime que l'espace d'une galipette et après, je les jette. Se barrer avant d'être emmerdée, c'est mon dicton en matière de relation.

« Sun et moi, on s'est rencontrés un soir d'avril. J'avais dix-huit ans et j'étais sur le point de passer mon diplôme d'études. Au détour d'une ruelle, je l'ai vu se faire fracasser la gueule par trois types costauds. Je n'ai pas pris le temps de réfléchir : j'ai foncé dans le tas. Je peux te dire que j'en ai émasculé plus d'un. Apparemment ça lui a plu puisque maintenant, il me suit partout. »



Like a Star @ heaven Pseudo-maturité (19 - ? )

« A dix-neuf ans, j’ai obtenu mon diplôme. J’ai eu le choix entre partir loin de cette ville de malheur ou rester. J’aurais voulu partir. Mais aller où ? Je n’ai ni parents, ni amis, passée l’enceinte de Nakunaru. J’ai donc choisi de rester. Au bout de quelques jours, j’ai réussi à trouver un job de serveuse dans un bar. Etant vraiment dans la merde, je n’ai pas eu d’autres choix que de l'accepter. Mais finalement, je m’y plais. Tu souris et tu as des bons pourboires. Tu fais semblant de t’intéresser aux gens et ils t’aident. Tout bénef’.

« Et Hyun Sun ? Ben… Je vais te dire, c’est bizarre. Cela fait un an qu’on se fréquente et on a toujours pas couché ensemble. Ce n’est pas que ça me dérange, hein... C’est juste que… Rah, je ne sais pas, c’est bizarre. Quand j’ai voulu partir d’ici, j’ai pensé que rien ne me retiendrait. Cette ville me donnait la gerbe, je devais me barrer. Sauf que quand j’ai voulu faire mes bagages, j’ai repensé à lui. J'ai pas réussi à finir ma valise. Peut-être parce que je savais que je devais rester car quand on est deux dans la merde, on doit s’entraider ? »


&.Celui qui se cache derrière l'écran

« Age : 20
« Surnom : -
« Comment as-tu découvert le forum? Park Hyun Sun me l'a montré o/
« As-tu tout lu? Shin est Dieu !
« Comment trouves-tu le forum? L'ambiance est cool :B
« Un dernier mot? ... Bonsoir ?



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Shin Ogawa
Shin Ogawa

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&.More
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Emma Oneglia ~ _
Message Sujet: Re: Emma Oneglia ~   Emma Oneglia ~ Icon_minitimeMar 31 Jan - 11:50


Piloupilou. ~
J'aime bien la manière dont t'as écrit ta fiche, et j'ai rien a redire, tout me semble parfait. o/
Alors amuse toi bien et bon Rp. o/

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Emma Oneglia ~

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