Énergique : On dirait qu’elle est constamment sur les boissons énergisante tellement elle passe son temps à sauter partout. En réalité, c’est dû au fait qu’elle se branche à l’ordinateur quand elle se prépare, le matin. Comme ça, elle a toujours la batterie au maximum pour les cours. Et puis, elle parle franchement très rapidement, et change de sujet sans prévenir. C’est carrément une hyperactive non-traitée, mais bon, ça la rend tellement mignonne.

Flemmarde : Étudier pour un examen? Certainement pas! Dali peut emmagasiner toute l’information qu’elle veut sur elle-même et donc tout apprendre la veille dudit contrôle. Par contre, cette capacité a des limites : il faut faire le ménage de temps en temps pour ne pas être trop chargée, auquel cas elle se tape le pire mal de crâne de l’histoire de l’humanité.

Bordélique : Mais où a-t-elle encore mis son chandail rouge? Ah, il est là, sous les deux paires de chaussures à côté de la pile de livre. Sa chambre, c’est un véritable fouillis. On dirait qu’elle n’a aucune idée à quoi sert un aspirateur. En fait, je crois réellement qu’elle ne sait pas ce que c’est. Elle laisse trainer ses choses un peu partout, sans faire attention à où elle les laisse et donc, bonne chance pour les retrouver plus tard. Elle fini toujours par faire le ménage, certes… une fois au six mois!

Compatissante : Elle est pas du genre à laisser tomber quelqu’un dans le besoin, ma Dali! En faite, elle se met à la place de qui lui raconte quelque chose. En plus, elle n’irait jamais balancer les secrets de ses amis n’importe où et ce, même s’ils se disputent!
Bonne conseillère : Quelqu’un a un problème? Il peut toujours venir voir tata Dali. Elle et son esprit plein de créativité sauront trouver une bonne solution, consoler et tout et tout. Ce qui est dommage, c’est que même si notre Miss USB est capable de comprendre de nombreuses situations et d’être juste pour tout le monde, quand ça en vient à sa vie, elle croit qu’elle ne mérite pas d’aide et préfère déprimer sagement dans son coin.

Aucune confiance en elle : Elle est peut-être ultra jolie, mais elle se voit très ordinaire. Elle est super attachante et gentille mais elle se trouve médiocre et stupide. Dali ne s’aime pas, car elle s’est fait répéter toute son enfance qu’elle était une erreur et qu’elle aurait dû mourir à la place de sa mère. Ça a de quoi laisser un léger traumatisme.

Diabolique : Ne la faites pas fâcher, car elle pourrait décider de vous faire souffrir avec de nombreuses idée plus méchantes les unes que les autres. Elle est très imaginative quand il s’agit de se venger sur quelqu’un qui a essayé de blesser un de ses proches, ou de la taquiner un peu trop. Pas de la blesser elle, parce que dans ses cas là, elle ne fait que déprimer.

Esprit tordu : Ou plutôt, surdité sélective. Dites « j’avais de la difficulté à soutenir son regard » et elle comprendra « J’avais de la difficulté à me retenir de sauter sur son corps ». Comme quoi elle est tellement obsédée qu’elle entend bien ce qu’elle veut. Comme on dit, tel créateur, tel personnage! Bon, on ne le dit pas, mais c’est un détail…

Perverse de service : Alors là, elle a du devenir comme ça il y a quelques… mois. En fait, elle a eu un copain, première relation et… ouaip. Bah les mecs, elle en est devenue folle. Enfin, dès qu’elle trouve un garçon à son goût, elle ressent le besoin de le draguer et de finir dans son lit. Et puis mentionnons qu’elle aime ceux qui savent ce qu’ils font. Les vieux quoi. Ceux qui ont déjà eu plus qu’une copine et qui savent comment entertainer les filles. Et puis, il y a pas juste ça. Vous pensez qu’elle télécharge juste du matériel à examen dans le disque dur qu’est sa tête? Naméh, quand on peut mater directement de son cerveau du Yaoi, est-ce qu’on s’en prive? Je ne crois pas.

Gammeuse : Les jeux vidéos, c’est sa passion après les sous-vêtements. Elle aime pas mal tous les genres, mais le style horreur remplis de zombies ou de monstres, elle adore. Comptons comme grand numéro 1 Left 4 Dead, le jeu de tuage de zombies par excellence.

Très bonne mémoire : Quand on a la capacité intellectuelle de 34 ordinateurs, on est capable de retenir beaucoup de chose. Besoin de plus d’information?

Ultra sociale : Ou plutôt, elle se fiche bien de ne pas connaître quelqu’un lorsqu’elle a envie de raconter son week-end, elle saute sur la première personne venue. Et c’est mieux encore si c’est un joli mec.

Arrogante sur les bords : Lire aussi, a de la répartie. Si quelqu’un l’énerve, elle prendra son sourire le plus moqueur pour lui lancer de vilaines choses. En fait, elle est capable de créer un monologue pour insulter quelqu’un. Probablement parce que, durant les 10 première années de sa vie, elle a eut le droit au même traitement et ce, à tous les jours, par son si charment père.

Simili bipolaire : Si ça va très bien une journée, elle court partout comme une débile en souriant jusqu’aux oreilles. Inversement, elle peut aller très mal le lendemain et pleurer toutes les larmes de son corps. En plus, lorsqu’elle est en colère, elle frappe, déchire, détruit tout ce qu’elle trouve. Disons simplement que lorsqu’elle fait quelque chose, elle y met tout son être. Seulement elle peut changer d’humeur en une fraction de secondes, pour un rien.

Pas très jaseuse au sujet de ses problèmes/sa vie (parce que je trouvais pas d’adjectif) : En fait, c’est très clair non? Son passé, sa vie, ses problèmes, ça ne concerne qu’elle. Personne ne doit savoir comment elle a eu une enfance difficile itou itou. C’est dommage, car elle aurait bien besoin de parler.

Stalkeuse de beaux mecs : Si elle trouve un garçon de son goût, alors c’est sûr et certain qu’elle essaiera de le trainer pour une séance de jambes en l’air. Et ce, même si ça signifie le suivre partout sans qu’il la voit, aller piquer des photos de lui dans sa chambre, dans son ordi. Elle est prête à tout pour arriver à ses fins. Ou presque.

Emmerdeuse de première : C’était ton copain qu’elle harcelait pour son numéro? Et alors, elle ne voulait pas sortir avec, seulement le pousser à l’adultère. Elle ne comptait pas vivre une histoire passionnée avec lui, elle voulait juste s’amuser un peu. Bon, d’accord, elle le laissera tranquille. Un mec de perdu, dix de retrouvé, comme on dit! Dali n’a aucune notion de convenance quand il s’agit de séduire un garçon qu’il soit en couple ou pas, peu l’importe. Et puis, si le copain/copine de monsieur se pointe pour casse la gueule de notre perverse de service, elle s’excusera en disant qu’elle n’était pas au courant qu’il était en couple… et elle ira emmerder quelqu’un d’autre.

Votre code CSS

.body { Alors son corps, à Dali, il change selon son humeur. Étant donné qu’elle peut modifier son âge à sa guise, elle pas avoir l’air d’une gamine un jour et d’une femme le lendemain. M’enfin, il reste toujours qu’en général elle est plutôt petite, avec une jolie poitrine tout ce qu’il y a de plus respectable. Elle est également très mince, surtout lorsqu’elle se rend plus jeune. Sa peau est d’un beige légèrement rosé très pâle, et la recouvre aussi délicatement qu’un voile. ; Ah oui, mentionnons aussi qu’un fil passe de son cerveau à son poignet, d’où elle peu sortir une clé USB quand elle a envie de se connecter à son ordinateur; }

.face { Elle pourrait se donner 30 ans qu’elle aurait toujours une charmante petite bouille de gamine, notre Dali. Elle a un visage un peu rond, un nez légèrement retroussé et un sourire d’ange vraiment trop mignon. Elle a une bouche légèrement en cœur formée d’une paire de lèvres rosées. Ses yeux sont bleu foncé et encadrés par deux rangés de cils parfaitement noir. Même sans être maquillée, elle est d’une grande beauté, notre Dali. ;}

.hair { Dali a les cheveux très longs, ce qui lui donne encore plus l’air d’une poupée. La plupart du temps, elle se balade en les ayant détachés, ce qui a pour effet de lui balancer quelques mèches rebelles dans le visage. Par contre, il lui arrive de se faire une couette ou des tresses, selon ce qui lui plaît. Rappelons ici qu’il ne suffit à Dali que d’entrer des codes dans un fichier et de se connecter sur son ordinateur pour modifier son apparence : cheveux, maquillage, taille. Eh oui, si Dali est petite, c’est par choix! ;}

.clothing { Alors le voilà, le vice caché. Le défaut de fabrication de notre être à demi informatique. Enfin, tout est question de point de vue. Le fait est que Dali s’habille comme si elle travaillait dans un endroit peu recommandable : les tenues de domestiques, de bunny, d’infirmière et cetera, elle trouve ça trop mignon. Autre chose à savoir, elle dépense une fortune en sous-vêtements : dentelle, jarretelles et j'en passe. Et puis, elle se balade toujours en gambadant sans se soucier que ses jupes lèvent. En fait, je crois que ça lui fait plaisir qu'on voit ses dessous... ;}

Un quelconque trois septembre, quelque part en Angleterre, un femme serrait faiblement la main de son mari qui la regardait d’un air dévasté. Elle passa sa main libre sur la joue de l’homme qu’elle aimait et lui lança un sourire triste. Elle était désolée de ne pas pouvoir vivre avec la belle famille qu’elle venait de former en mettant sa fille au monde. Elle était désolée de devoir quitter cette jolie fille, cette toute nouvelle fleur apparut sur Terre. Au moins, Dali aurait son père, il saurait prendre soin d’elle, elle l’espérait. Sans un mot, sans un bruit la femme s’éteint. Le regard de l’homme changea : une lumière de folie passa brièvement dans ses yeux, et l’infirmière apparut dans la pièce avec un poupon emballé dans une couverture rose dans les bras. Elle lança une moue affligée à l’homme et lui tendit sa fille. Aussitôt, le regard de monsieur Tsuji se fit glacial : c’était de la faute de cette larve si la femme qu’il avait épousée était morte. C’était cette horreur qui avait détruit la chose la plus précieuse à ses yeux. Pourquoi diantre ce bébé inutile avec survécu alors que sa mère était morte? Il aurait mieux fallut que l’enfant ne survive pas. Un frisson de dégout parcouru son être entier alors qu’il aperçu sa fille. Cette fille qu’il aurait dû chérir et protéger.

Jusqu’à ses douze ans, Dali n’eut pas conscience de son pouvoir. Elle se fit rappeler à tous les jours qu’elle était une erreur, un démon qui n’aurait jamais du voir le jour. Elle était bien au courant qu’elle avait tué sa mère. Chaque jour, elle endurait les horreurs que son père lui débitait. Chaque soir, elle s’endormait en pleurant. Son père avait raison : elle devait partir. Si elle s’en allait, peut-être maman reviendrait-elle et son père lui serait reconnaissant. Peut-être qu’il aimerait enfin sa fille si elle lui rendait sa femme. Maman les avait abandonnés quand elle était née, alors si elle mourait, maman reviendrait et papa serait fier de sa fille. Enfin. Alors elle se dirigea à la salle de bain de son père, où elle subtilisa une lame de rasoir. Elle décida de juste… voir si ça faisait mal. Elle approcha l’arme de son poignet droit, y fit une légère incision et eu un sursaut, en échappant l’objet. Une forme rectangulaire sortait de son bras. Les idées complètement ailleurs, elle laissa la lame où elle était et regarda la Chose qui lui sortait de la peau…

Quelques jours plus tard, elle avait été envoyée chez sa tante, car son père ne pouvait plus la supporter. Il avait décrit à quel point sa fille était un monstre qui ne méritait pas de vivre dans la lettre qu’il avait écrite à sa sœur. Alors notre petite gamine aux cheveux noirs s’était installé sans un mot dans le taxi qui l’avait conduit de l’autre côté du pays et avec remis la feuille à son nouveau foyer. Il va de soit que la vieille femme s’était prise de pitié pour l’enfant et la serra dans ses bras en lui disant que son père n’était pas bien. Dali était restée impassible. C’était papa qui devait l’aimer, pas cette inconnue. Enfin, on apprit plusieurs mois après que monsieur Tsuji s’était pendu. Notre gamine qui avait rapidement passé au dessus de son traumatisme et qui était alors dotée de tout un caractère s’était contenté de regarder sa tutrice d’un regard glacé et de lui dire qu’il n’aurait pas dû l’envoyer si loin pour s’enlever la vie, elle lui aurait volontiers passé la corde au cou.

Enfin, entre temps, Dali avait découvert les joies de l’informatique et accessoirement, tout ce que la petite clé USB qui était contenue dans son poignet pouvait faire. Elle s’amusait à modifier son apparence en apprenant le CSS, mais se gardait une gêne quant à l’exploration de ses pouvoirs au monde. Parce que les disques durs vivants étaient assez rares, il faut le dire. Elle se fit plaisir à emmagasiner une information digne de wikipedia dans son cerveau avant les examens qu’elle réussissait toujours avec brio (on se demande pourquoi). Malheureusement, les autres enfants la trouvaient bien étrange à cause de son addiction aux films d’horreur et aux shooter (comprenez, sa tutrice lui offrait toutes les nouvelles consoles de jeux pour la consoler de son enfance malheureuse). Ainsi, elle se fit bousculer la plupart de sa jeunesse ce qui lui causa certains traumatismes et mena sa confiance en elle sous le zéro.

Mais mentionnons qu’elle était très jolie, beaucoup plus que la moyenne, et donc, elle enchaina un après les autres les petits copains, Ensuite on se demande comment elle est devenue Aussi perverse. Et bien, voici comment. En secondaire trois, après quelques mois passé avec le même copain, toutes les conditions furent réunies, les planètes alignées et /ZBAF/ bon alors, vous voyez le genre, moment sexy, première relation. Et notre charmante petite poupée appris à connaitre les joies du sexe. Lui vint à l’idée que plus les hommes étaient âgés (enfin, à une certaine limite), plus ils étaient doués au lit. Il ne lui fallut pas longtemps pour prendre le stagiaire de la classe de science dans sa ligne de mire, et lorsqu’elle voulait un mec, elle l’avait. Une confirmation de théorie plus tard (comme quoi les mecs de son niveau savaient vraiment pas comment s’y prendre), voici notre petite demoiselle qui avait commencé à courir après les hommes en couple… et qui les gagnait. Mais Dali était du genre One-night alors le grand amour, je n’y crois pas vraiment. C’est que c’est un Don Juan au féminin, notre demoiselle. Et donc, un matin elle se retrouva dans l’académie. On lui expliqua qu’elle avait un don. Et bien soit, elle était partie pour un nouveau départ!