| Sujet: Coin artiste ne veux pas dire que Dessin !! Mar 26 Mai - 12:39 | |
| | Voici pour vous les amis mes différents talents. Pour commencé je dessine beaucoup énormément même !
- Dessins diverses :
- dessins a la main:
- Dessins a la tablette graphique:
Mais je suis aussi une écrivain ^^
- Le livre des Anciens tome 1(desole pour les derniers chapitre non corrigé):
Le livre des anciens : L'épopée d'une jeune fille
Remerciements :
Prologue La pâle lueur de la lune éclairait le village de Lidoa, mais quelque chose n'allait pas. Les quartiers étaient vides. Un silence pesant dura quelques minutes puis un cri retentit. Dans le quartier sud, une jeune femme courait ; elle tourna à droite après l'auberge de Joger, haletant jusqu'à la porte principale, au sud-ouest du village. Arrivée à la porte, elle s'arrêta pour regarder où étaient ses poursuivants. Ils n'étaient pas assez loin pour qu'elle reprenne son souffle, alors quelques secondes plus tard, elle repartit. Elle portait un ballot où se cachait une jeune fille endormie d'à peu près trois printemps. Arrivée à la lisière de la forêt, près de Lidoa, elle déposa la jeune fille dans un châle qu'elle portait sur les épaules et mit une pierre dans le ballot. Elle déposa la jeune fille et le châle dans un bosquet assez touffu pour les cacher. Les poursuivants ne l'avaient pas lâchée et elle fut contrainte de repartir. Après quelques minutes, des hurlement retentirent dans la forêt : la jeune femme venait d'être empalée.
Chapitre 1 Aria se réveilla en sursautant, réveillée par ses propres cris. Ce rêve, voilà bientôt deux lunes qu'elle le faisait. Elle descendit de la branche qu'elle avait choisie pour la nuit, prit son arc et ses flèches (confectionnées par ses soins) et partit pour la chasse avec la renarde qui l'avait recueillie. Arrivée dans la forêt, Aria laissa Queue Rousse, et alla du côté du village d'humains, comme elle le faisait si souvent. Elle grimpa dans un arbre où elle resta perchée pendant plusieurs minutes quand un jeune humain passa sous elle. Elle le voyait souvent traîner dans les bois ces derniers temps. Voulant savoir ce qu'il cherchait, elle le suivit jusqu'au lac, au centre de la forêt. Il s'assit sous un Youreaux dont les fruits blancs ne tarderaient pas à devenir orange près du rivage. Aria l'observa : elle eut l'impression qu'il était triste. Tout à coup, elle sentit la présence de deux personnes derrière le garçon et elle eut l'étrange sensation de devoir protéger ce jeune garçon au péril de sa vie. Elle tira une flèche depuis son arbre et le premier fut tué sur le coup. Elle sauta rapidement à terre et mit un couteau sous la gorge du deuxième. Le garçon se retourna paniqué et vit une jeune fille d'à peu près son âge, ainsi que l'otage qu'elle détenait. Aria perçut de la pitié dans le regard de celui qu'elle venait de sauver, alors elle relâcha le prisonnier. Le jeune garçon ne voyait pas le visage de la fille en face de lui. Aria ne savait pas quoi faire devant le regard perçant du jeune homme alors elle lui tourna le dos et commença à marcher lorsqu'il lui dit : « Attendez ne partez pas ! Qui êtes-vous ? » La capuche d'Aria tomba, dévoilant une longue chevelure blanche comme la neige. Elle tourna la tête dans sa direction et lui sourit. Le garçon resta bouche bée devant la beauté de la jeune fille et fasciné par ses beaux yeux rouge écarlate braqués sur lui. Il ne sut quoi dire, Aria se retourna et courut afin de s'éloigner du garçon. Quand celui-ci se retrouva seul, il s'évanouit.
Chapitre 2 Le jeune Fein se réveilla dans sa chambre, se demandant s'il avait rêvé de cette jeune fille. (ici, tu dois revenir sur l'agression : les gens du village qui ne l'aiment pas) Il se promit d'aller à l'endroit où il l'avait vue, afin de vérifier si elle y était encore ou même si elle avait laissé des traces de son passage. Il se leva, s'habilla puis partit en forêt à sa recherche. Il ne vit aucune trace alors il s'assit et attendit. Aria avait aperçu le jeune homme quelques minutes plus tôt alors qu'il se dirigait vers le lac elle l'avait suivi. Quand elle le vit s'asseoir, elle se demanda ce qu'il attendait. Elle était tellement dans ses pensées qu'elle ne se rendit compte qu'au dernier moment qu'elle glissait de la branche de Youreaux sur laquelle elle s'était perchée. Elle se retint à la branche avec son bras libre. Fein sursauta en la voyant se tenir de la main droite à l'arbre. Aria lâcha la branche et tomba à quelques mètres du garçon. Elle allait partir en courant quand il lui attrapa le bras droit et lui dit : « Attendez ne partez pas s'il vous plait ! Je veux savoir comment se nomme ma sauveuse ! Aria tourna la tête vers lui, toujours recouverte de sa capuche. Fein fut de nouveau tétanisé par le regard de cette jeune fille, il lui lâcha le bras et recula de quelques mètres. Puis elle fit tomber sa capuche dévoilant de nouveau sa chevelure immaculée comme la neige puis elle lui dit : - Tu es étrange pour un humain... - Ah ? - Comment te prénommes-tu ? - Fein. - Et bien Fein, je te prierai de ne plus revenir dans ma forêt ! - Votre forêt ? et pourquoi donc ? - Parce que les humains sont en danger ici ! Et que vos ancêtres vous en ont caché les dangers ! - Ah ? Pouvez-vous être plus précise ? - Non ! Je vais te raccompagner jusqu'à la lisière de la forêt ! Puis Aria raccompagna Fein. (ajoute un paragraphe sur la forêt et comment ils sont gênés l'un par l'autre) Arrivés près de la route, il lui demanda : - Vous ne m'avez pas dit votre nom, pourquoi ? - Je ne veux pas te le dire ! - Pourquoi ? - Parce que c'est ainsi ! - Depuis quand vivez-vous ici, alors ? - Deppuis toujours, d'après mes souvenirs. Bon ici tu es en sécurité. Adieu ! » Elle disparut alors dans les arbres. Fein reprit le chemin de chez lui. Arrivé chez lui il demanda à sa mère si elle connaissait une fille vivant dans la forêt. Elle lui répondit que non, ils dinèrent et enfin il alla se coucher. De son côté, Aria monta au plus grand arbre de la forêt et observa le village de Fein. Elle s'envola en direction du village. Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Les larmes se mirent à couler encore plus sur ses joues. Elle ne pouvait plus contrôler son corps. Elle atterrit dans le centre du village et elle chercha une victime. Son corps ne répondait plus à sa raison : elle sortit des crocs aussi blancs que sa chevelure et, tout en pleurant, but le sang de la jeune victime qu'elle venait de faire.
Chapitre 3 Fein fut réveillé par des cris d'horreurs. Il sauta de son lit, descendit dans la rue de la place et vit un groupe de personnes entourant une jeune fille. Le corps de la jeune fille gisait dans une mare de sang ; elle avait deux trous au niveau du cou. Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues... Cette jeune fille, il la connaissait bien, elle se nommait Elwyne et c'était sa meilleure amie (mentionne la au début du chapitre 2 pour dire que Fein n'a pas osé lui parler d'Aria). Alors il fit demi-tour et partit. Il voulait aller en forêt mais hésita puis se résigna. Il se rendit chez lui puis, après quelques heures, il revit l'image des trous dans le cou de son amie. Il bondit de son lit et se rendit à la bibliothèque de la ville. Il prit tous les romans et les documentaires parlant de monstres. En fin de journée, il partit en forêt pour se reposer auprès du lac, il se dit tant pis pour l'avertissement de la jeune fille aux cheveux blancs et au yeux rouges. Aria vit le jeune Fein sous le Youreaux, il avait l'air fatigué et avait les yeux gonflés comme s'il avait pleuré mais il jouait avec une feuille de Youreaux alors elle descendit de son perchoir puis s'installa à côté de lui. Il fixait le lac s'en même tourner la tête à son arrivée. Il dit : « Existe-t-il des monstres près d'ici ? Est-ce pour cela que vous ne voulez pas que nous venions dans la forêt ? - Je ne peux pas répondre à tes questions, jeune Fein. Mais toi tu dois pouvoir répondre aux miennes ! - Ah ? Lesquelles ? - Quel âge as-tu ? - Vingt et un printemps. Et vous ? - Je...Je ne sais pas - Vous ne devez pas... - Tutoie moi d'accord ? - D'accord ! Tu ne dois pas être très vieille je suppose... - Je n'en sais rien. - Pourquoi ne veux-tu pas répondre à mes questions ?demanda-t-il soudainement - Je voudrais, mais je ne peux pas ! - Pourquoi donc ? - Parce que tu me prendrais pour une folle ! Un silence s'installa dans la forêt, puis Fein tourna la tête vers elle et dit : - Pourquoi je te prendrais pour une folle ? Le regard doux du garçon désarçonna Aria et elle resta pétrifiée, le cœur battant... - Pourquoi ? Répéta-t-il doucement. Elle ferma les yeux. - Je sais que tu es triste à cause de la mort de ton amie, mais je ne peux rien te dire sur moi ! - Comment sais-tu ça ? Qui es-tu ? - Je me nomme Aria, je vis dans cette forêt depuis toute petite mais je ne peux rien dire d'autre.»
Chapitre 4 Fein était allongé sur son lit, il pensait à Aria, elle qui ne se laissait approcher de personne. Quand il était rentré chez lui, il avait pris un vieux livre poussiéreux sur l'une des étagères du bureau de sa mère. Il portait le nom de "Chroniques du Village". Puis le jeune homme entreprit des recherches sur Aria. Il avait découvert qu'une jeune fille avait été cachée dans la forêt par sa mère, pour sa sécurité plusieurs années auparavant. On avait retrouvé le corps de celle-ci apparemment empalé et à moitié incinéré. Les gens du village avaient chassé ces deux personnes, en croyant qu'elles étaient des monstres. Ils avaient ensuite cherché pendant des jours la jeune enfant disparue, en vain. Fein se demanda si Aria était la jeune fille du livre car les autres pages du livre avaient été arrachées, donc Fein ne découvrirait rien de plus. D'après la date de ce livre, Aria avait le même âge que lui. L'après-midi même, il décida d'aller en forêt et de chercher des plantes médicinales pour sa mère qui était la guérisseuse du village. Il ne croisa pas Aria. Et il se dit qu'il y reviendrait le lendemain. Le lendemain, Aria resta perchée dans le Youreaux en regardant le lac. Les larmes n'avaient cessé de couler sur ses joues. Entendant un bruit de pas, elle sécha ses larmes en vitesse «N'aie crainte ! C'est moi Fein ! Elle se tourna, descendit du Youreaux et le regarda. Il s'avança et s'assit sous l'arbre et lui fit signe d'en faire de même. Elle s'assit à côté de lui sans vraiment comprendre pourquoi. Il avait l'air préoccupé. Après quelques minutes de silence, il lui demanda : - Es-tu un de ces monstres ? - Quoi ?! - Es-tu un MONSTRE ? répéta-t-il en se tournant pour la regarder dans les yeux. - Que...Comment...euh...Qui t'a dit ça ? - Tu ne réponds pas à ma question ! Essayes-tu de l'éviter ? dit-il d'un ton posé. - Je ne peux pas y répondre ! dit-elle, sa voix se brisa et des larmes recommencèrent à couler. Fein la regarda, stupéfait de la voir pleurer. Elle se leva brusquement. - Oui c'est vrai ! Je suis un monstre ! Un monstre qui fait des humains ses victimes ! Je ne devrais pas exister ! » Elle criait en disant ces paroles. Fein, étonné et plein de compassion, ne put s'empêcher de la prendre dans ses bras. Elle fut surprise de ce geste puis se laissa sombrer dans un sommeil profond, sa tête se posa sur l'épaule du jeune homme, son visage près de son cou.
Chapitre 5 Aria se réveilla en entendant des cris de terreur et des sifflements de colère. Elle était dans une cage sur une charette ! Elle regarda autour d'elle et vit entre deux gardes le jeune Fein. Elle lui cria avec colère : - Tu m'as livré à ton peuple ! Il tourna la tête vers elle et lui dit : (travaille tes verbes de parole – voir fiche jointe) - Non ! Ils m'ont suivi et ont cru que tu me mordais quand tu t'es endormie ! dit-il avec un aplomb et une tendresse qui la calma net. - Heureusement que nous sommes intervenus, sinon tu l'aurais vidé de son sang comme la pauvre Elwyne ! fit un des gardes . - Mais vous ne comprenez rien ! Cette fille n'a rien fait de mal ! dit Fein ; les paroles du garde avaient allumé une flammèche de colère en lui. Aria hallucina : il venait de la défendre, elle ? Un monstre sans coeur ? - Laisse tomber, jeune Fein. J'aurais dû mourir il y a déjà longtemps de ça, alors ce n'est que mon destin qui s'accomplit ! J'ai aimé te rencontrer et encore désolée pour ton amie ! » dit-elle avec douceur. Puis la charette s'arrêta, les deux gardes la sortirent et la ligotèrent sur un poteau au milieu de la place. Une jeune femme accourut voir Fein en pleurant. Ce devait être sa mère, se dit Aria, elle avait dû croire que son fils avait failli mourir mordu par un monstre comme elle. Elle vit aussi une personne la regarder, cachée sous une cape, puis la personne s'en alla.
Chapitre 6 Fein observait Aria depuis la fenêtre de sa chambre. Il la voyait regarder aux loin. Il savait que c'était sa faute si elle était là et voulait la sauver. L'exécution avait été programmée pour à l'aube et en public. Il ne voulait pas y penser, rien que cette idée le rendait malade alors il décida de la libérer. À l'heure où la lune était le plus haut dans le ciel, Aria eut un mauvais pressentiment : quelqu'un l'épiait. Elle sentit la présence de quelqu'un et tourna la tête pour voir qui c'était mais elle ne vit personne. Quelques secondes plus tard, elle sentit quelque chose au niveau de ses liens. Elle leva la tête et vit Fein en train de la détacher. Elle lui dit : « Que fais-tu, imbécile ? Tu vois pas que c'est mon destin ? Pesta-t-elle. - Non, ça ne l'est pas ! » lui dit-il. Aria se demanda comment il pouvait le savoir. Il lui expliqua que quelques minutes après avoir établi un plan, il était parti voir la devin du village, une petite femme aux cheveux gris qui démontraient son vieil âge, s'appelant Seyna. Il lui avait demandait l'avenir d'Aria et elle lui avait répondu : « Son avenir n'est pas d'être executée mais il se trouve au-delà de notre forêt... Elle trouvera sa destiné dans la Forêt de l'Esprit ! Guide-la ; il vaut mieux que tu l'accompagnes car toi aussi ta destiné se trouve ailleurs ! » Une fois détachée, Aria lui dit : « Merci, mais je ne veux pas d'une nounou ! - Tu n'as pas le choix, Aria ! dit une voix dans l'ombre. - Qui êtes-vous ? Montrez-vous ! L'ombre obéit. - Seyna ! s'écria Fein. - Seyna ? répéta Aria - Oui, c'est bien moi, jeune Aria, je savais bien que Fein viendrait te libérer, mais je sais aussi que les gardes ne vont pas tarder. Vous feriez mieux de partir. - Mais et Luria ? Qu'arrivera-t-il à ma mère ? dit Fein. - Ne t'en fais pas, je m'occuperais d'elle. Maintenant filez ! » (dis qu'elle leur donne une carte) Alors Fein put partir sans regrets. Il n'aimait pas tellement les gens du village et eux ne l'aimaient pas du tout (il faut que tu dises ça plus tôt et que tu expliques en partie pourquoi). Aria attrapa Fein par l'épaule et le traina en direction de la forêt. Lorsqu'ils arrivèrent près du lac, Aria fouilla dans un tronc mort et en sortit son arc, ses flèches, deux couteaux de jet,une dague et une épée. Fein n'en croyait pas ses yeux. Elle lui tendit l'épée et lui dit : - Prends ! - Je ne sais pas me battre ! Répondit-il. - Je t'apprendrai, mais pour le moment je ne peux pas porter tout ça toute seule !Prends ça aussi ! » s'exclama-t-elle tout en lui lançant un des deux couteaux. Ils commençaient à marcher au bord de la forêt quand Aria s'arrêta et grimpa à un arbre : elle ne voulait pas que Fein voit ses ailes mais surtout elle ne savait pas comment elles apparaissaient. Fein resta bouche bée quand il la vit redescendre avec deux sacoches dont l'une qui débordait d'herbes médicinales. Il reconnut en quelques-unes, celles que sa mère lui avait appris à reconnaitre. L'autre sacoche était rempli de viande séchée. Puis ils partirent vers le nord, en direction des ruines de Lanyocène. Ils mirent quelques heures avant d'arriver à la ruine, la lune commençait à se lever. Ils décidèrent alors de rester à la ruine pour la nuit. Ils prirent un repas léger à base de viande et de menthe aquatique, dans un silence complet. Aria prit le tour de garde du premier quart-temps. Aucun des deux n'avait vraiment envie de dormir. Fein demanda : « Comment et quand voudras-tu m'apprendre à me battre ?>> Elle le regarda et dit : - Le plus tôt possible. - C'est-à-dire ? - Demain, si tu le souhaites. - Autant apprendre le plus vite possible : maintenant ? Mais Aria dit : - Demain il fera jour et ce sera mieux pour t'entrainer ! On commencera avec l'arc. Attention il y a certain domaine où tu ne seras pas fort, donc tu ne manieras pas ! - Je comprends ! » dit-il. Aria avait eu raison : le lendemain il faisait très beau, sans aucun nuage en vue. Quand Fein se réveilla, il se remémora les évènements précédents et se rendit compte qu'Aria ne craignait pas le soleil, contrairement aux monstres dans les légendes, elle était vraiment mystérieuse pour un monstre. Aria avait déjà préparé le déjeuner, mais elle n'était pas dans la ruine. Quand il eut fini de manger, il attendit en explorant les alentours et quand il revint, Aria l'attendait près du feu, deux grand bâton près d'elle... Quand elle le vit arriver, elle lui en jeta un en lui disant : « Commençons par l'épée ! - Mais c'est un bâton ! - Et alors ? c'est mieux que de te faire trancher la tête dès les premier coups ! dit-elle avec un petit rire sinistre qui glaça le sang de Fein. - D'accord, je n'ai rien dit. » Puis ils commençèrent l'entrainement et finirent une heure après. Elle lui apprit les bases de l'épée, des couteaux de jet. Il était plutôt doué pour ces matière, mais pas terrible à l'arc ni à la dague. Elle lui apprit aussi à reconnaitre des plantes médicinales qu'il connaissait déjà, mais il écouta par politesse. Puis elle l'exerça à chasser car ils en auraient bien besoin, vu comme leurs réserves baissaient.
Chapitre 7 Ils partirent le lendemain à l'aube vers le sud (ils allaient vers le nord avant ?!). Ils marchèrent pendant deux heures et commencèrent à apercevoir au loin les Montagnes de l'Oubli. C'était d'immenses piquants qui partaient vers le ciel en quête des étoiles. À ce moment, ils repérèrent des ombres qui fonçaient droit sur eux, Aria passa l'épée et les couteaux de jet à Fein puis mit ses dagues à portée de main. Elle prit son arc en main et engaina une flèche. Elle visa les ombres mais quand elles se retrouvèrent nez à nez avec Aria et Fein, les deux amis baissèrent leurs armes et regardèrent la jeune femme et la petite fille qu'elle portait dans ses bras. La jeune femme se cacha derrière Aria et Fein et leur dit : « Aidez-nous, s'il vous plaît ! - Qu'est-ce...? » Fein fut interrompu par la poussière qui se levait au loin, puis il entendit le galop des chevaux. Ils eurent juste le temps de se remmettre en position de défense que déjà un groupe d'homme armés et vêtus de tissus marrons de la tête au pieds arriavit. Quand ils se retrouvèrent face à face, un homme s'avança et dit : « Livrez-nous les sorcières ! - Les sorcières ? Quelles sorcières ? s'écria Aria. - Ne faites pas votre maligne damoiselle, c'est à votre homme que je parle ! lui répondit l'homme d'un ton qui déplut à Aria. Fein n'en croyait pas ses yeux, ces personnes le prenaient pour le chef de l'expédition, alors qu'il en était très loin. - Ce n'est pas mon homme et c'est moi la chef de ce groupe ! s'écria Aria avec colère. Et je ne vous livrerai personne, car il n'y a pas de sorcières ici ! Un vent d'orage commença à souffler, des nuages noirs se rassemblaient quand l'homme reprit : - Je vais te croire, femelle ! cria-t-il avec méchanceté. Maintenant tu te tais, insolente, et laisse ton homme parler ! » Fein n'avait jamais vu Aria énervée et quand il vit l'orage frapper, il se dit que sa colère avait quelque chose à voir avec l'orage. Les inconnus furent surpris par l'orage, les marques rouges d'Aria s'illuminèrent, ses cheveux se tintèrent de rouge au lieu de blanc, ses pupilles devinrent blanches et les iris de ses yeux d'un bleu nuit foncé. Fein recula de trois pas protégeant la jeune femme et l'enfant pendant qu'il se remémorait le seul moment où il l'avait vue ainsi. Des ailes d'un noir corbeau sortirent du dos d'Aria au niveau des omoplates. Les hommes eurent tellement peur qu'ils s'enfuirent en criant comme des fillettes. Aria ne volait plus, ses ailes avait disparu et elle avait repris sa forme normale. Puis elle eut des vertiges, tomba à genoux et finit face contre terre, presque inconsciente. Fein la rejoignit en vitesse, alors la jeune fuyarde resta coite devant la créature qu'elle venait de voir. - Vous... vous êtes... un monstre... fit-elle en reculant d'un pas, puis elle commença à partir, apeurée. - Attendez ! fit Fein en avançant de trois pas. - Ce n'est pas grave, ne t'inquiète pas, j'ai l'habitude... remarqua Aria en essayant de se relever. Mais elle fit un pas et tomba à genoux. Elle se tenait les côtes droites au niveau des marques qu'elle portait, puis regarda sa main. Celle-ci était couverte d'un liquide bleu nuit et chaud. Elle tomba face contre terre. Fein s'approcha, la mit sur le dos, il vit le côté gauche de son visage et le côté droit de ses côtes recouverts d'un liquide. - Qu'est-ce-que c'est ? » demanda-t-il. Les yeux fermés, Aria était inconsciente.
Chapitre 8 « Où suis-je ? Que m'est-il arrivé ? Aria se trouvait dans une petite clairière sous un Youreaux. Cet endroit ressemblait à celui de la forêt près du village de Fein. Une jeune femme aux cheveux noir corbeau et aux yeux orange, à la peau blanche vêtue d'une robe violette se tenait là. Mais le détail qu'Aria vit en premier, c'était la cicatrice au niveau de son coeur. - Tout va bien, Aria ! dit la jeune femme. - Qui êtes-vous ? demanda celle-ci calmement. - Je suis Malweÿ, ta mère. - Ma mère ? Mais ma mère est morte ! s'écria Aria, surprise. - Oui, je suis ta mère ! - Mais alors ça veut dire que je suis morte ! dit Aria paniquée. - Tu es à l'intérieur de ton âme, pas au paradis, annonça Malweÿ en souriant. - Mais alors que faites-vous là ? demanda-t-elle. - Tu peux me tutoyer, tu sais... Avant de disparaître, je t'ai donné une partie de mon âme pour la première fois où tu utiliserais vraiment ton pouvoir et t'aider si besoin. - C'est gentil merci, mais j'y arriverai seule. (insiste sur le fait qu'Aria en veut à sa mère de l'avoir laissée seule, à devoir se débrouiller sans aucune explication) - Bien... Mais s'il y a quoi que ce soit, pense à moi. - Oui, bien sûr ! » Sa mère se dématérialisa, l'endroit où elles se trouvaient s'effondra. Aria ouvrit les yeux, Fein la portait sur le dos et marchait vers le soleil levant (vers l'est maintenant). Elle se tourna pour voir derrière elle, ils avaient dépassé les Montagnes de l'Oubli. « Tu te réveilles enfin ! s'exclama Fein, Aria n'avait pas remarqué qu'il s'était arrêté, elle descendit de son dos et répondit : - Cela fait combien de temps que je suis inconsciente ? - Trois jours, tu pèses combien ? annonça-t-il pour détendre l'atmosphère. - Hahaha... je suis pas d'humeur ! - Que t'est-il arrivé ? Demanda-t-il. - Je ne sais pas.» Aria préférait garder pour elle sa rencontre avec sa mère. Elle se rappelerait toujours ce qu'elle lui avait dit avant de disparaître : « Tu sais, ma petite Aria, je serai toujours en vie cachée quelque part dans ce monde. Elle s'était arrêtée quelques secondes et avait continué : Quand tu en auras besoin, tu iras à Oreine, et tu y trouveras les réponses à tes questions ! » Ils approchèrent d'une cité faite de marbre de couleur sable. De grandes murailles entouraient un immense village. Des champs s'étendaient à perte de vus sur le côté gauche du village, à droite se trouvait un château, entouré de quelques maisons isolées. Une ligne noire à l'horizon était faite des personnes qui se présentaient. Ils dépassèrent à leur tour la porte et découvrirent un grand village rempli de vie. Des marchands étaient établis dans la rue principale, vendant toutes sorte d'objets. Un petit groupe avançait jusqu'à arriver devant une auberge portant le nom de La pierre de Feu. Ils s'arrêtèrent devant, contemplant la façade verte ressemblant à une forêt.
Chapitre 9 Quand Aria et Fein dépassèrent le seuil de la porte, tous ceux qui était à l'intérieur se tournèrent vers eux en se taisant. Ils se sentirent gênés. Le patron, voyant leur tête, s'écria : « C'est bon ! Arrêtez de les mater, ce sont pas des bêtes de foire ! Alors tous reprirent leur activité. Fein et Aria s'avançèrent jusqu'au comptoir : - Merci ! dit Aria. - Pas de quoi ! On n'a pas l'habitude de voir des gens comme vous ! Mais vous ne venez pas ici pour rien, n'est-ce pas ? répondit-il. - Nous voudrions une chambre pour une nuit s'il vous plaît ! » déclara Fein en montrant les pièces de Luminis bleue (des pièces translucides entourées d'un halo de lumière de couleur montrant ainsi la valeur de chacune) que venait de sortir Aria de sa poche. L'aubergiste émit un petit gémissement de plaisir et les amena jusqu'à leur chambre où se trouvaient des lits séparés. Les deux amis y passèrent la nuit. Le matin quand Fein se réveilla, il vit qu'Aria avait déjà disparu, son lit était refait ; il se leva alors d'un bond, déjà tout habillé car il n'aimait pas dormir nu ou en chemise de chambre. Il descendit les escaliers après avoir rangé la chambre. Quand il arriva face au bar, il vit Aria en train de boire un liquide chaud de couleur blanc gris, elle lui fit signe de s'approcher pour discuter, alors il s'approcha puis s'assit sur un tabouret à côté d'elle : « Que se passe-t-il ? lui demanda-t-il. - Nous devons partir avant que le soleil ne soit trop haut dans le ciel ! lui répondit-elle. Fein avait déjà préparé toutes ses affaires et il ne restait rien dans la chambre quand il était sorti, Aria avait déjà dû tout ranger, mais il préféra ne rien dire à part : - Allons y alors ! » Aria avait un mauvais pressentiment ce jour-là. Elle se leva, salua et remercia le patron de l'auberge puis sortit, suivie de Fein. Ils marchèrent vers la porte est de la citée. Arrivant devant celle-ci, Aria s'arrêta net, tournant la tête vers la droite. Une ruelle sombre s'ouvrait à elle... « Montrez-vous ! cria-t-elle. Patientant quelques secondes, ils virent sortir un cactus et un navet armé d'une cuillère à demi-pliée, le cactus répondit : - Reste calme, Osif ! Il s'adressait au navet qui tremblait comme une feuille, puis il reprit : - Vous nous voulez quoi ? - C'est plutôt à vous de nous le dire ! Arrêtez de nous suivre ! s'écra Aria. Ses marques commençaient à la démanger. Que se passait-il ? - Oh ! En fait, on vous a vu vous battre avec Jo et sa bande dans le Désert Démoniaque, alors on s'est dit : pourquoi ne pas vous suivre pour échapper à Yolun ! - Yolun ? demanda Fein. - On vous expliquera, si vous nous laissez venir ! » Aria grogna férocement, mais hocha la tête pour qu'ils comprennent qu'ils pouvaient venir, elle voulait savoir qui était Yolun. Ils marchèrent pendant plusieurs heures puis firent une pause près d'une rivière où ils remplirent leurs gourdes. Fein sortit la carte que Seyna leur avait donnée. « Aria nous sommes près du Ganouel ! Un cri sourd le fit s'arrêter quand le cactus s'écria : - Oh non : Yolun ! Cachez-vous ! » Lui et Osif se jettèrent dans les fourrés les plus proches, alors qu'Aria et Fein restèrent pétrifiés sur place, pas de peur non, mais de surprise en voyant l'ombre géante passer au-dessus de leur tête. Fein fut soulevé de terre par deux grandes pattes pourvues de griffes immenses et d'écailles. Il s'éleva dans les airs, enlevé par Yolun...
Chapitre 10 Aria s'arréta près de la fin des Grandes Arches pour prendre un peu de repos. Cela faisait des jours qu'elle marchait avec Joran et Olaf, elle essaya de dormir, mais rien ni fit, elle pensée trop a Fein, qui était prisonnier du dragon, elle devait absolument aller le libere, mais comment ? "- Tu pense que tu vas réussir toute seule maintenant ?" s'exclama une voix dans sa tête, elle était si familière qu'Aria la reconnue tout de suite. C'était sa mère qui lui parler, du moins ce qu'il en rester. " Non ! Mais j'essayerais quand même !" s'écria Aria pour lui répondre. Joran et Olaf la regardé avec peine quand le cactus se tourna vers son compagnon pour faire un signe de la main qui signifié " Elle est folle !" . Le navet se leva et alla rejoindre Aria quand celle-ci tomba a genoux sur le sol dur en pleurant, les mains sur ses epaules les bras croisées sur son torse. "Tu sais pourtant que seule tu n'arriveras a rien ...." Aria secoua la tête pour faire disparaitre la voix de sa mère, les larmes ne cesser de coulé sur ses joues.Olaf pris la tête de la jeune fille entre ses mains, et il la fit regardé le ciel, passant une de ses mains en direction es nuages, comme pour dire " Tout va bien ce passer !" Aria eu un petit sourirequi contrasté avec son regardet qes larmes. Après quelques minutes, nécessaire a notre héroine, pour se calmer, elle se leva et pris Olaf sur ses épaules, ce qui rendis muet Joran. Ils partir vers le Sud Est. Ils traversèrent des plaines immenses, si longues que l'on n'en voyant pas la fin. Ils rencontrèrent plusieurs êtres étranges comme des Korrigans, ou des Kornicanet. Ceux-ci les guidèrent sur de mauvaises routes par fourberies ou amusement, certains les ramenèrent même jusqu'aux Grandes Arches.Des fées bien veillantes les guidèrent vers la forêt lumineuse. Ils mirent quatres jours en tout à faire des aller et retour à cause de leur guides malfaisants, puis ils mirent deux nouveaux jours guidé par les fées. Entre temps ils rencontrèrent un félins aux dents accérées, il les poursuivit jusqu'à la lisière de la forêt lumineuse où il pris peur , et s'enfuis comme un lâche. Là ils furent en sécurité ou presque, ils marchèrent près de longues et fines feuilles mesurant près de deux mètres, les arbres mesuré un peu moins de vingt mètres de haut . Aria marché toujours sans s'arrêté les deux poltrons étaient un peu a la traine comme toujours, les marques d'Aria s'illuminèrent un instant. Ils passèrent a côté d'un groupe de trois personnes, deux jeune filles et un garçon, puis un autre jeune homme. Les inconnus, Aria y compris, se regardèrent, mais ils ne se dirent rien et partirent chacun de leur côté après une courte pose. Joran et Osif se regardé un air inquiet au visage. D'un coup Aria sentit que quelqu'un déguéné l'épée qu'elle portait a sa taille, s'attendant à voir le groupe de personne qu'ils avait rencontraient, elle déguéna l'une de ses lames et se retourna alerte, mais tout ce qu'elle vit fut Joran une épée a la main, il s'écria le visage triste: " Excuse nous !" et la lame jailli, le sang gicla, il venait de planté la lame dans le côté droit sous les côtes de la jeune femme, surprise, elle tomba a genoux un filet de sang au coin de la bouche, s'écrasant au sol essayant d'apercevoir son agresseur qui avait laissé tomber l'arme, tremblant Osif auprès de lui pleuré, le cactus le pris par les épaules et l'emmena loin, jusqu'à ce qu'Aria ne puisse plus les voirs, la vue de celle-ci se troubla, de grandes formes bleutées flotté dans les airs et s'approché d'elle. Elle essaya d'attraper son éée couverte de sang , mais ses paupières se fermèrent et ce fut le trou noir. Quand Aria se réveilla elle se trouvé dans un lit fait de bois et de feuilles en guise de couverture, le jour filtré a travers les feuilles qui servaient de fenêtre. La jeune femme essaya de se lever, elle s'assit d'abord sur le lit, enlevant sa couverture, elle vit un gros bandage, immaculé, elle se leva et fit quelques pas maladroit vers ne porte. Elle s'appuya contre le mur d'une main essouflé, puis elle ouvrit la porte, derrière celle-ci se trouvait cinq personnes en cercle tous grand, plus grand qu'Aria, bleus des pieds à la tête, et flottant dans les airs. Ils n'avaient pas de pieds plutôt une sorte de tissus transparent dentelé ou en forme de vagues pour certains. Ils parler, quand l'un d'entre eux la pointa du doigt ils se retrounèrent tous et l'encerclèrent pour Aria écarquilla les yeux, ils se trouvaient dans l'un des arbres de la forêt lumineuse, ils l'emmenèrent vers une nouvelle porte dans le tronc gigantesque, quand ils l'ouvrirent un escalier d'un taille démésuré se présenté à eux. Ils la firent descendre ce qui pris au minimum une heure, puis la firent entré dans une nouvelle porte cette fois plus grande avec des symbole étrange gravé au couteau. Aria avait du mal à marché et quelques souvenirs flou lui revenait: la blessure, les poltrons qui s'enfuis, les corps bleu flous et Fein au regard remplis de peur s'envolant dans les pattes de Yoluun. Soudain elle entendis un petit cris aigue, sans le vouloir aggripé le bras d'un de ses gardiens puis l'avait fortement serrer. Elle s'excusa promptement quand ils la firent rentré dans une salle sans fenêtre, la seule personne qu'elle voyait était une vieille femme à la peau bleu, ridé, aux cheveux aussi blanc que ceux d'Aria, ceux qui escorté celle-ci la fit avancé. " Bonjour Aria je t'attendais ! Je m'appelle Ziroa !" dit la vieille femme, Aria s'approchait de Ziroa, boittant a moitié, et demanda: " Que me voulez-vous ? " " Pas de mal en tout cas ! Juste t'aider!" Cette femme avait un accent étrange comme si un chat enroué sa gorge a chaque phrases et ses e était tous prononcé en "é". "Sa ne répond pas a ma question !" répondit Aria d'un air serieux. " Oui, nous enfin... Je veux te dire comment rétouvé ta mère !" " Pour le moment ce n'est pas ma priorité !" " L'aimetu donc autant ?" Aria recula maladroitement, trébuchant et commença a tombé au sol quand la vieille femme la rattrapa, à une vitesse que personne ne se serais douté. " Qu'est-ce que vous racontez ? " " Tu ne t'en es pas encore rendu compte ? Tu aime Fein et tu le sais !" Aria eu les larmes aux yeux, ce nom lui brisé le coeur, elle ne l'aimait pas ce n'était pas possible. Ziroa essuya les larmes de notre héroïne. Elle l'aida à se relevé , et lui dit a nouveau: " Pour le retrouvé tu dois allez dans l'antre du dragon ! Nous allons te faire un portail qui te mènera à celui-ci du moins l'entré. Il te suffira de le retrouvé." " Attendez avant je veux savoir combien de temps j'ai étais inconsciente ?" " A peu près deux jours entiers !" Aria la remercia, un air inquiet qui contrasté avec son sourire étincellant qui dévoilé ses crocs, Ziroa l'emmena au fond de la piece, une lumière verte profonde étincella dans toute la pièce dévoilant une dizaine de gardes avec des toges blanches comme neige, lea lumière produite venait d'un portail derrière la vieille femme. Celle-ci poussa Aria de sa main droite dans son dos en lui disant de revenir a la fin de sa tache. Aria la remercia une dernière fois, et attérie devant le Volcan du Riney un brèche sous les yeux. Elle sentit un liquide chaud coulé de sous ses côtés droit, elle regarda sa blessure venait de se rouvrir.....
Epilogue: Aria était rentré dans la brèche, ses marque sur son corps s'illuminèrent, éclairant la grotte d'une lumière rougeâtre, avançant dans la pénombre. Une main sur sa blessure qui saigné abondement humidifiant son bandage d'une couleur rouge. Elle arrivé dans une grotte immense remplis de pierres volcaniques. Ils se trouvé au coeur du Volcan. Le Dragon en face d'elle assis de toute sa hauteur. Devant lui se trouvé trois personnes deux garçon et une fille Fein y compris. Le coeur d'Aria fit un bon quand elle remarqua qu'ils étaient ficelait, mais qu'ils avaient les yeux ouverts. En apercevant la jeune femme Fein commença a bouger pour enlevé ses liens, mais il ne reussit pas. Aria voulu courir pour le délivré mais elle ne put que marchait. Yolunn la regardé de ses yeux jaune profond avec une pointe d'orange, elle s'arrêtait devant Fein les yeux baigné de larmes. Elle le pris dans ses ses bras défaisant ses liens, faisant apparaitre ses ailes, elle donna une grand coup d'ailes dans les air, s'envolant Fein avec elle pour reculait loin du dragon. Elle le lacha au sol avec un petit sourire triste, il la regardé dans les yeux. Aria les fermé ses force l'abandonné " Non pas maintenant" s'écria-t-elle pour elle même, les paroles de Ziroa la hanté, elle avait compris maintenant. " Il faut que je lui dise...". Fein la maintenait fermement par les épaule au moment ou elle tomba presque dans l'inconscience total, il lui disait presque en criant: " Aria ! Aria ! S'il te plait me laisse pas !" Elle posa une main sur son épaule ouvrant avec difficulté, se tenant toujours le bas des côtes de sa secondes main, elle eu un petit sourire ses ailes s'évaporèrent elle reussit a chuchoté: " Je ... Je...t'aime....excu..se moi..." Fein écarquillait les yeux, des larmes y monté, Aria venait de lui révélé quelques chose et lui ne savait que dire, elle tomba sa tête sur son épaule, cette fois elle était inconsciente. C'est alors qu'il remarqua qu'elle était blesser, d'un coup une jeune fille entra du côté droit du volcan, elle était en pleurs......
FIN DU PREMIER TOME
- Rêvé de la Mort:
Rêvé de la mort !
Prologue *Cette nuit j'ai rêvé, un rêve qui se réaliseras, un rêve terrible..... J'ai rêvé de ma mort. Cette fin que tout le monde subis après avoir vécus, cette fin différentes et pourtant identique pour chacun, j'ai rêvé de ma mort. J'ai rêvé de la mort qu'attendent les meurtriers comme moi. J'ai rêvé de la mort. Et pourtant j'ai aimé cette mort, comme on aime un enfant....Pourtant c’était une mort cruelle, une mort sans fin, et une agonie assourdissante....J'ai rêvé de MA mort. Une mort qui est si loin mais s'approche a grand pas. Ce n'est pas un rêve, car cette mort est déjà la. Peut être pas visible par les autres, mais pour moi elle l'est déjà. J'ai vu la mort dans les yeux. J'ai vu MA mort. Non ! Je ne l'ai pas vu ! Je la vois ! Je vois ma mort comme je vois mes mains. Je vis de ma mort.*
La jeune fille marchait, les cheveux ébouriffés par le vent. Des cheveux noirs corbeaux, traînant d'une main un cadavre a moitié coupé. C'était une forêt sombre, qu'elle traversé. Un temple. Elle se dirigeait vers ce vieux temple en ruine au milieu de cette forêt de pins. Parlons de ce cadavre, un homme sûrement vue la taille de ses épaules, On ne pouvait reconnaître son visage tellement le sang le recouvré. La fille laissait un filet de sang immense derrière la dépouille du défunt. Elle portait une sabre a la hanche, son manche de couleurs rouge rayer de blanc contrasté avec son kimono bleu. Le temple se présenté juste devant elle. Elle ouvris de sa main libre la porte de chêne brun qui semblait très lourde. Une bourrasque sorti de l’intérieur du temple faisant volé quelques feuille morte et virevolté les cheveux noir de la fille. Elle rentra en silence, un silence glacial, un silence de mort ! Une grande pièce l'accueillis, une silhouette blanchâtre se détacha en haut d'un balcon, sur les coté se trouvé deux escalier. La fille avança au centre de la pièce, la porte se referma d'un coup dans un grand bruit sourd. Pourtant elle resta immobile, elle souleva le cadavre et avec une force incommensurable elle le balança jusqu'au balcon, la silhouette se retourna regarda le cadavre et souris. La jeune fille dit pour le première fois : « Voilà la dépouille de celui que vous m'avait demandé …. Maître ! » La silhouette caché sa figure sous une cape, elle mesuré environ deux mètres, on ne percevait ni pieds, ni peau. Il y eu comme un cliquetis quand elle semblant prendre un morceau de chair du cadavre de sa main droite, une main ? Non ce n’était pas une main ! Plutôt des morceau de ferrailles aiguisé, acéré, la silhouette fourra ce morceau de chair dans se qui ressemblait a une bouche, du moins si on ne compté pas le trou dans sa joue, qui dévoilé le spectacle, d'une mastication incessante, et d'une dentition digne des plus grand requins blanc. Le sang coulait a travers ce trou béant. C'était le sang de l'homme, que la créature dévoré avec avidité. Le jeune fille déglutit avec difficulté, Se tourna et partis d'un pas non châlant, arrivé a la lourde porte, la silhouette dis d'une voix masculine qui avait des son métalliques : « Je sais très bien que c'est ton meilleur amis, pourtant tu as accomplis ta mission qu'elle cruauté, tu es bien un monstre ! » La rire qui retentit de sa bouche, ressemblé plus au frottement de deux couvert entre eux. La fille se stoppa net. Une main sur la manche de son arme. D'un coup elle se tourna et sauta jusqu'au balcon, dégaina l'arme et trancha la tête de la silhouette. La tête roula par terre c'était un homme plutôt âgé les cheveux court avec un début de blancheur. Il avait un œil de cyborg. Les yeux écarquillé il esquissa un dernier sourire et s'exclama : « L'élève dépasse le maître enfin ! » Il agonisa encore quelques minutes en gémissant puis se tus a jamais. La jeune fille tomba lourdement au sol, en pleurant : « Adieu Maître ! Adieu Fred …. Pardonne moi ! » Elle passa son bras sur son visage, cachant ses yeux remplis de larmes de son avant-bras. Elle leva la tête vers le plafond comme pour regardé l'âme de son amis défunt partir. Elle sanglotait. La porte s'ouvrit et se referma a une vitesse incroyable, plus aucun son, jusqu'à ce qu'elle entende quelqu'un chuchoté. La fille essuya ses larmes, et se leva, son kimono taché de sang. Elle tourna la tête vers la pièce du bas, un homme se trouvait au centre. Un homme au cheveux court brun qui porté des lunette, la jeune fille descendit un escalier d'une lenteur a faire peur. Le jeune homme recula en déglutissant, en voyant le sang, il se colla dos à la porte. La jeune fille s'approchait aucune lueur dans ses yeux vairons rouge et violet, le visage couvert de sang, elle dégaina son épée et la colla au cou de l'homme en s'exclamant : « Qui es-tu ? » Le jeune homme leva les mains près de sa tête pour montré qu'il n'était pas armé : « Alix !Je m'appelle Alix ! » Il hésité a demandé a la jeune fille son nom, il se douté qu'elle ne lui répondrait pas, ou seulement par un autre nom, mais après un long moment ou le silence commencé a pesé il lui demanda : « Quel est vôtre nom a vous ? » La fille ne répondit pas le scrutant dans les yeux, des yeux ambré profond. Elle rengaina sa lame, recula d'un pas et de la manche de son kimono bleu essuya les quelques gouttes de sang qui recouvré son visage immaculé. « Appelle moi Night ! Et seulement Night ! » Le jeune homme écarquilla les yeux, hocha la tête, il se retourna ouvrit la porte et partis en courant sans demandé son reste.
Chapitre 1 :
Night avait 16 ans, pourtant elle n'allait pas au lycées, elle passé la plupart de son temps a tué sous contrat. Mais ce jour là, le contrat qu'elle avait reçus l'amené au lycées George Antio. Elle avait pour mission de tué une personne du nom « Sébastian Gregory. » Il était en seconde, et on le connaissait sous le nom de Vol de Corbeau. Il avait tué la sœur de celui qui avait embauché Night. La jeune fille avança lentement le lycées, le soleil commencé a décliné, derrière les bâtiments. La forêt ou se trouvé le temple se trouvé a l'autre bout de la ville. Elle avait du marché toute la journée sous un soleil de plomb pour arrivé a l'endroit indiqué. Le chemin avait était facile il fallait tournait a droite après avoir longer le cimetière qui se trouvé près de la forêt, puis prendre a gauche devant une boutique de vêtement au nom connus. Ensuite il fallait marché toujours tout droit jusqu'au lycées. Night avait lavé son kimono, et puis le fait qu'il fasse nuit l'arrangé elle préféré travaillé dans la pénombre. Elle rentra dans la lycées et se cacha ou elle put avant qu'il ne ferme le portail. Night avança dans la cours, son katana a la hanche. Son air froid et sombre au visage. Elle rentra dans un des bâtiments, elle du monté jusqu'au deuxième étage pour entendre un bruit ou voir une lumière allumé. Elle tourna la tête vers la fond du couloir quand un cris de terreur retentit. Night eu un sourire effrayant, un sourire dévoilant des dents blanche acéré étincelante. Elle n’eut même pas à avancé pour voir ce qu'il ce passer qu'une jeune fille au bras coupé sortit de la pièce. Du sang giclé du moignon. Un homme sortit de la pièce d'où venait la femme. Il avait une épée a la main couverte de sang, malgré la pénombre Night aperçus son visage, un visage hideux remplis de cicatrice et une mâchoire décalé. L'homme avait deux ailes dans le dos, des ailes de corbeaux noir. La femme passa devant Night et glissa au sol s’écrasant au sol dans un grand bruit. Night reconnu ça cible, c’était bien Sébastien. Un long silence se posé sur le couloir ou se trouvait les trois personnes. D'un coup l'homme se jeta sur la femme au sol, Night s'interposa et du manche de son sabre, elle lui donna un grand coup au ventre, ce qui le fit reculé. Toujours au même endroits Night le regardé dans les yeux, il crié de colère, la rage se lisais dans ses yeux, de la baves dégouliné de sa bouche. La femme au sol ne bouger plus, elle avait agonisé quelques secondes a bout de force sa vie l'avait abandonné. Sébastien se releva dégaina son épée et attaqua Night avec des coups féroces. Elle ne retira même pas la lame du fourreau pour riposté, touchant a chaque coup son adversaire. Il porta un coup servant de feinte, se jetant bouche ouverte sur Night, il la mordit au niveau de l’épaule gauche, déchirant son kimono, la jeune fille sortis sa lame et transperça Sébastien. Elle recula rangea sa lame, et posa une main sur sa blessure elle était douloureuse. Sébastien c’était écroulé au sol, il hurlé dans al pénombre, le silence qui avait régné jusqu'alors fut rompus. Night posa un pied sur le dos de l'homme, pris d'une main sa tête et avec force la déchira de son cou. Le but de son contrat était de ramené la tête de l'homme a un endroit précis. Night regarda la dépouille de la jeune femme, elle ne pouvait la laissé ainsi certes elle n'avait plus de cœur mais cette jeune fille était innocente. Elle fourra la tête dans un sac de lin gris. Ensuite elle pris la dépouille de la pauvre femme, la mis sur son épaule qui n’était pas blessé, et sortis du couloir ou elle mis le feu. Ensuite elle sortie du bâtiment, et regarda le contrat. Elle devait amené la tête tout près de la a quelques mètres même. Elle partie dans la direction qu'il fallait passa devant un fast food, et tourna dans une petite rue au fond se trouvé un carton ou il y avait une feuille avec écrit « Ici ! » Elle y déposa le sac en lin, puis repartis vers la lycées. La elle déposa la femme par terre, fouilla ses poches pour trouvé un carte quelconques qui pourrait l'aidé sur son identité. Elle trouva une carte de bus, dessus se trouvé le nom « Isabelle Mac Larenn » Elle trouva aussi une adresse, mais avant cela elle devait nettoyé le corps de la fille et l'habillé joliment. Elle la remis sur son dos trouva un petit étant a deux pas de la forêt, Elle plongea le reste du corps de la jeune fille dans l'eau le lava, et lui enfila une robe blanche qui traîné dans les vieux vêtements de Night. Dans le même temps elle changea son kimono pour un kimono de cérémonie blanc. Elle pris la jeune fille comme on prend un princesse dans ses bras. Sur le chemin de son adresse, Night cueillis un petit bouquet de tulipe et de rose. Elle arriva a l'adresse, un endroit magnifique une maison sans voisin, ce qui arranger beaucoup Night. Elle déposa la dépouille devant la porte, mis le bouquet de fleurs sur son ventre et posa son unique mains par dessus. Ensuite elle sonna a la porte, puis se retourna et partie vers la forêt. Elle arriva devant un cerisier fleuris quand elle entendit la porte s'ouvrir. Night se retourna les yeux grand ouvert, elle connaissait l'homme qui venait de sortir a la porte, il était accompagné d'une femme vraiment plus âgée, quand il virent le corps la femme se blottis contre le jeune homme, ils pleuraient cette jeune fille devait être quelqu'un de leur entourage quelqu'un de chère a leur yeux. La vieille femme était toujours blottit contre l'homme là Night se rappela de qui c’était « Alix » le jeune homme quelle avait rencontré lors de son contrat, il releva la tête et du apercevoir Night a vrai dire la lune dévoilé bien le kimono blanc de la jeune fille, et Night n'avait pas pris la peine de se caché. De son air neutre naturel, elle se retourna et continua son chemin. Dans le même instant Alix fit rentrait sa mère il avait bien vu une ombre blanche au loin et avait décidé d'aller la voir, c’était sûrement c'est silhouette qui avait ramené le corps de sa chère sœur. Il rentra aussi son corps et la mis sur le canapé, les larmes aux yeux puis s'excusa auprès de sa mère et sortis en courant, La silhouette était loin mais toujours visible, il couru dans sa direction en lui criant de s'arrêté. Night se tourna elle avait entendu le jeune homme, il arrivé a son hauteur et quand il se rendit compte a qui il avait affaire, il s'arrêta net les yeux écarquillé : « Toi ???? Qui es-tu a la fin ??? » Night ne répondis pas restant ou elle était comme elle était aucun sentiments. « Répond moi ! Ça t'amuse de tuer les gens tu en avait pas assez avec les autres de la dernière fois il a fallut que tu t'en prenne a ma sœur, ou alors c'est pour te venger du fait que je t'ai vu??? » Night ne répondit pas mais elle s'approchait, Elle donna un coup de poing dans le ventre d'Alix ce qui le fit tomber a genoux et répondis : « Tu crois que sa m'amuse ? Je n'ai pas touché un cheveux de ta sœur, j'avais une mission, tuer un homme ! Mais je suis arrivé en retard et ta sœur était déjà en agonie ! Tu peux être rassuré l'homme est mort ! » Night avait dit ces mots d'un ton sec, les yeux grand ouvert le tenant par le col, elle le lâcha et repris son calme. Elle se tourna et partie une bonne fois pour toute ! Non mais pour qui il ce prenait celui là ? A l'agresser ainsi, il ne savait ni a qui il avait affaire ni a qui il parler. Night rentra dans la forêt. Elle se dirigeait vers le centre, un endroit que personne n’approchai a cause d'une vieille légende. Une légende telle que l'on en connaît des dizaines. Une légende parlant de montres mangeurs d'homme aux griffes acéré. Oui des personnes de la même sorte que son maître mais souvent plus puissants. Les gens pour qui elle travaillé en gros ! Elle avançait en silence mais le jeune homme ne l'avait pas lâché, au bout d'un moment elle en eut marre, elle se retourna la lame dégainé la pointe sous la gorge d'Alix. Le défiant du regard elle le fit reculé aussi loin que possible. « Que me veux-tu à la fin ? _ Savoir qui tu es ! Et pourquoi tu tue ! Tu ne le sauras pas, faut pas rêvé. s 'exclamait Night. Et pourquoi cela ? Parce que çà ne te regarde pas ! Tu ne me connaît pas je ne te connaît pas et c'est bien mieux ainsi ! Adieu ! » Elle avait dit ces dernier mots avec fureur et sans lui laissé le temps de riposté était partis en courant disparaissant dans une brume naissante. Le jeune homme se tourna désespéré et s'en alla marchant au ralentis. Night s'arrêta de courir quand elle passa derrière un chêne assez gros pour la dissimulé dans son kimono de cérémonie blanc. Elle regarda son épée voyant son reflet dedans, elle la rangea pour évité de se voir. Elle repris son chemin passa devant un étang où se trouver un saule pleureur. Elle passa ensuite devant un puits en ruine, puis une maison dans le même état et se retrouva au milieu d'un village ou seul deux a trois maison semblait encore en bonne conditions. Elle vit une ombre rouge sortir du cote d'un toit qui était caché, l'ombre s'exclama : « Te voilà n°2 ! Death t'attendait avec impatiente ! C'était la voix d'une jeune fille, mais Night ne pouvait la voir a cause du soleil. Death m'attend ?C'est nouveau çà ! Ouais il avait hâte de savoir si t'avait fais ce qu'il t'a dit ! Tu crois que je ne l'ai pas fais n° 7 ? Si mais c'est lui ! S'exclama-t-elle en sautant auprès de n°2, c’était une fille au cheveux tinté de rose, avec un cache œil sur lequel il y avait une tête de mort. Mais oui bien sur ! S'exclame Night d'un ton neutre . Amène moi a lui ! D'accord n°2 ! Night détesté être appelé ainsi ça lui rappelé les plus mauvais souvenirs de sa vie. Elle rentra dans le plus grand des trois bâtiment encore en état d’accueillir du monde, n°2 pris une torche et la guida dans un escalier qui semblé mené dans des souterrain, la bâtiment était normal a l'intérieur se trouvait une table des chaise et une voir deux armoire. Elles descendirent dans des souterrains. Ils marchèrent dans un couloir pendant plusieurs minutes, tournèrent a droite puis a nouveau a droite et finirent par arrivé enfin dans un pièce a l'odeur de sang, une aura sombre entouré cette pièce. Night rentra a la suite de n° 7 puis une voix au fond de la pièce surgit : « Te voilà N°2 bien as-tu remplis ta mission ? C'était une voix d'homme - Oui Death ! Bien ! Tu es une bonne fille ! Un tintement de fer retentis, l'homme bougeais il avancé vers Night et n°7, il disait ses phrases d'une voix mielleuse. Merci chef ! Appel moi père voyons ! Approche veux-tu. » Night fit ce qu'il dit elle s'approcha et attendit, l'homme sortis de l'ombre et se retrouva dans le faible halo de lumière qui venait de la torche. L'homme paraissait jeune, malgré ses cheveux gris et ses yeux de la même couleur. Night se mis a genoux devant l'homme celui ci fit signe a n° 7 de partir, elle accrocha la torche au mur. « J'ai une nouvelle mission pour toi ! Qu'elle est-elle ? Une jeune fille que tu dois tué pour moi ! Cette garce ma trompé, je compte sur toi ! Il relevais le visage de Night. Bien je le ferais, vous avez les informations ? Bien entendu. Les voilà ! J'y vais de ce pas. Night se tourna vers la sortis pris la torche et partis sans un regard vers lui. Le dossier a la main elle fit le chemin en sens inverse. Une fois dans la maison elle s’assit a un chaise pour regardé le dossier. C'était une jeune fille au cheveux brun, sa photo montré qu'elle avait les yeux bleus, a côté de la photo il y avait un nom et une adresse. Elle s'appelait « Léa Jordin » et elle habité dans le 4° Arrondissement, celui ou travaillé Night la plupart du temps puisqu'elle habite a côté, dans le bout de forêt bordant la 4°arrondissement. Elle se leva ouvrit une placards et pris son kimono bleu nuit, puis partis en direction de sa mission. Après avoir revus Night, Alix était rentré chez lui, il avait tout raconté a sa petite amie qui l'avait rejoins quelques minutes plus tard, il lui avait dit pour sa sœur mais avait passer sous silence sa rencontre avec Night pour une raison inconnue. Il était sur son lit la jeune femme a côté de lui, il s'exclama d'un coup : « Elle me manque terriblement Léa ! Je te comprends Alix elle était comme une sœur pour moi. » Alix se releva cela faisait des heures qu'ils était ensemble et elle devait sûrement rentré pour allez se reposé « Tu devrais rentré pour te reposé. Oui tu as raison tu me raccompagne jusqu'à la porte ? Oui bien sur ! Ils se levèrent, sortirent de chez le jeune homme. Celui-ci écarquilla les yeux, jamais il ne se serait attendu a voir ce qu'il voyait, Night était là figeait, son visage ne reflétait aucun sentiments. Il se mis devant Léa qui partait vers la droite a l'angle du 4° arrondissement. Elle regarda dans la direction ou il regardait et vit Night, comme a son habitude elle eut un sourire sadique comme a chaque combat a mort qu'elle faisait. Alix cachait Léa derrière son dos, mais jamais il n'empêcherait d'accomplir sa mission. Elle s'avança dégaina son épée, la nuit commencé a tombé, Alix avait une sueur froide et cria : « Arrête toi Night ! Je t'interdit de la touché, tu ne me prendra personne d'autre ! Night ? La Night ? S'écria Léa en reculant, elle tremblait Tu la connais ? Non Alix mais j'ai entendu parlé d'elle ! Comment ça ? Tu ne connais pas l'histoire du E.S.H.O ? Elle avait une voix inquiète Non.... Le E.S.H.O ou Extermination du Système Héréditaire de l'Oxygène ! Ce sont des tueurs, des assassins a la botte de leur chef N°10 comme on l'appelle ou Death of Blood, mon ex ! Ton ex ? Il avait presque crié en disant ça Oui mon ex, et si c'est bien la Night que je suppose alors son nom est Night of the Death la n° 2 l'une des plus puissante ! L'une des plus réussite des expérience de Death..... » Elle n'eut pas le temps que continué sa phrase, puisque Night qui était resté silencieuse et au même endroit jusqu'à maintenant, avait avancé l'épée sous la gorge de Léa. La jeune fille déglutit avec difficulté, Alix choqué ne bougea pas. « Tu en sais beaucoup trop, il est temps. Temps de quoi ? Fini par demandé Alix De sa mort ! Je suis en mission ne me gêne pas ou tu y passeras aussi ! Tu es en mission ? Alors Death n'a pas supporté que je le quitte on dirait. Je suis prête ! Elle se tourna vers le jeune homme posa une main sur sa joue et fini. Adieu chou ! » Sans qu'elle est eu le temps de dire un mot de plus du sang coula au coin de sa bouche, Night avait frappé en plein cœur transperçant la jeune femme, elle retira la lame et l'autre tomba lourdement au sol. Alix la regardait les larmes vinrent a ses yeux, il se jeta sur Night qui esquiva chacun de ses coups, puis elle lui fit un croche patte, il roule au sol, mais se releva d'un bon et se jeta a nouveau sur elle, il n'eut pas le temps de l'atteindre qu'une main le pris par le col du tee-shirt et le mis sur l'épaule, d'un homme aux cheveux violet, comme un sac a patates. Night ramasser déjà la dépouille de la jeune fille quand l'homme était arrivé, Alix complètement sous le choc se laissa faire avec des petits gémissements comme un enfant. N°2 releva la tête et sans grand sentiment demanda : « Qu'est ce que tu me veux n° 6 ? Alors c'est comme ca que l'on parle a son grand frère Night ? Demanda l'homme avec un sourire Oui si celui-ci me tire une tête pareil ! Qu'est ce qu'elle a ma tête ? Demanda-t-il en attrapant une mèche rebelle d'une main.
Voilà si vous voulez en savoir plus sur mes dessins ou mes livre prévenez moi ^^
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