Escapade vers le passé au parc (Yoru Suzuki)

La journée avais était longue même trop longue a mon goût. Entre les cours qui était supportable malgré la chaleur de cette été et le soleil qui brillait se reflétant dans la fontaine de la cour principal. C'était magnifique, bien sur mes camarades aussi était très enthousiaste a l'idée de finir ces cours, même un peu trop car une sorte de bruit ambiant c'était installé depuis le premier cour. A 12h se fut la pause déjeuné,comme tout les jours, et là les bavardages c'était intensifié, les rires et tous se qui pouvais animé et parlant de se beau temps avec ses chaleur, des petites bataille d'eau commencé également. Cela me déprimé un peu de voir autant d'agitation, je préféré regardé le paysage baigné de lumière dans un calme des plus serin plutôt de d'entendre le jacassement des filles de la table voisine qui décidé de leur tenue pour sortir. Finalement les garçons qui joué avec l'eau réussir a marrosé par inadvertance, mon repas trempé il était finalement bon a jeté a la poubelle. Trempé j'allais me changé rapidement au dortoir, la journée continua finalement sans trop d’encombre entre les divers entraînements.

Je rentra alors a ma chambre, dans le seul but d'être au calme, mais la encore, les cries et bavardages incessant traversais mes écouteur. J'était fatigué que les gens soit ainsi, le dortoir était vraiment beaucoup trop agité je pris donc mes affaires et partie. Je pensais partir sans trop de bruit me glissant comme un courant d'air, mais la fenêtre que j'avais laissé ouverte claqua ma porte de chambre, me fessant attiré les foudres des autres fille.
Il était claire que je gâchais par ma présence leur joie, il faut dire que j'étais vue comme une pestiféré la plus part du temps, seul, dans mon monde, ayant des pouvoirs non qualifiable voila comment ils me voyaient majoritairement. Cela m'étais égale, j'en avais pris l'habitude, je fit donc de ne rien entendre de leurs sarcasme et partie. Je vagabonda dans la ville admirant le ciel et le soleil qui décliné peu a peu pour laissé place a la lune. Quand l'horloge de la ville sonna les 18h j'étais devant l'entré du parc. Celui ci étant toujours plein de vie et d'animation je ne mis était encore jamais aventuré par manque de silence.
J'avancé alors dans se parc, regardant les passants partir peu a peu , les enfants eux aussi dure partir bien qu'ils soient les roi de cette espace leur étant dédié. Les balançoires se vidé peu a peu, les bancs de meme et les chahut qu'il faisait vivre l'endroit se dure laissant place au au bruit du vent sur les feuilles.

Je m'installa sur un banc au début dessinant le peu d'enfant qui resté entrain de joué. Une fois partie , je m'installa sur une balançoire me posant alors mille et une question sur tout et rien a la fois.

"Quelle journée ! Il y a trop de bruit ! Aussi bien à l'intérieur de l'académie que dehors. Par pitié arrêtez ! Déjà que j'ai assez mal dormi hier soir alors, si vous m'empêchez de me reposer au calme ça ne va pas le faire. Pas du tout même. D'accord il fait chaud, c'est l'été et tout et tout, mais pas la peine de crier trop fort non plus. Enfin bref, tant qu'ils ne me filent pas une migraine tout va bien."

Le jeune homme aux cheveux bruns passait partout dans l'académie à la recherche d'un endroit calme. Il passât toute l'après-midi jusqu'à 17h à chercher un endroit calme.

"Pas un seul endroit où on peut avoir un semblant de paix. En plus, l'académie et trop fréquenter, alors ça aurait était loupé pour rester tranquillement dans un coin. Attend, le parc ! Mais oui ! A cette heure il doit être vide de tous ces bambins qui cours et crie partout. Allez, c'est décidé, let's go !"

Yoru marchât d'un pat déterminer vers le parc de la ville, passant discrètement dans l'académie en évitant de rencontrer de petits curieux. Car, oui, un type qui se trimbale en veste en plein été cela attise la curiosité. Mais bon, lui il n'a pas chaud et c'est ce qui importe.

"Aaaaah le parc, si calme à 18h. pas vraiment beaucoup de bruit, c'est parfait. Et en plus un arbre procurant un peu d'ombre, parfait pour se reposer une heure ou deux."

Le garçon aux cheveux bruns aplat s'installer sous l'arbre et vit un peu plus loin, sur un banc, une fille perdue dans ses pensées. Enfin, elle en avait tout l'air. Et elle avait un petit carnet à côté d'elle. Yoru ne manquât pas l'occasion de se poser des questions sur elle.

"Tiens, tiens... Une autre personne cherchant le calme. Un carnet ? Elle dessine peut-être. Je me demande à quoi elle pense. Oh et puis zut, ça ne me regarde pas. Oh oh..."

Oui, le "Oh oh" annonçait le fait que Yoru avait remarqué que cette fille le regarder. Il faut dire que là il n'a pas joué la discrétion, le jeune homme. Il l'avait regarder fixement pendant quelques minutes aussi. Il détournât le regard et fit comme si de rien n'était.

"Bon et si j'essayais de me reposer... Avant qu'on vienne me voir."

A me perdre dans mes pensée j'y perdu également la notion du temps et du monde qui m'entouré. Quand a mes yeux regardant le vague monde devant mes yeux, il n'était la quand observateur des scènes qui m'entouré. J'étais sans réaction pendant un bon moment, au bout d'un moment sortant de mon monde, aperçue un garçon. Il devait avoir le même age que moi a vu de nez, et semblé cherché un endroit, il me fixa pendant plusieurs minute a ne plus me lâché. Je ne sais pas se que je lui avais fait pour qu'il me fixe a se point, et puis finalement au bout d'un moment il détourna le regard et parti près d'un arbre et si installa, ce n'était pas plus mal, il ne voulais pas parlé et moi non plus, j'allais pas faire non plus le premier pas, bien que le fait qu'il me fixa comme ça m'intrigua énormément. Avez fait quelque chose de mal ou avez t'il entendu quelque chose a mon sujet, après tout une jeune fille avec les cheveux gris claire ça ne parcourais pas les rues et encore moins les couloirs de l'Académie bien qu'il y avez des personnes étranges. Je me posais un ta de question a se sujet tout en me balançant. Puis au bout d'un moment j'en eu marre de me posé toute ses questions du pourquoi du comment, je regarda le garçon qui était toujours sous l'arbre.

*Franchement, pourquoi autant de question pour finalement pas grand chose, je ne vois vraiment pas pourquoi je devrait m’inquiète parce qu'il ma fixais quelque minutes* pensai-je

Je sauta de la balançoire en plein vole et atterri sur un pied correctement, l'autre un peu moins me faisant perdre l’équilibre. Résultat des course, une réception foireuse, un écrasement en beauté sur le sol, de belle égratignures.

"ce...n'e..pa...m...journ...franch...."soupir

Ça n'aurait pas plus tombé plus mal j'entendis un pouf de rire, il faut dire que dans se silence de mort difficile de pas le remarqué.

"Ah ben non, elle n'est pas aussi curieuse qu'elle n'en a l'air. Moi qui aurais cru qu'elle serait venue me questionner comme les autres. Elle est différente des autres celle-là. Intéressant."

La jeune fille sautât sur la balançoire, se balançant d'avant en arriéré et d'arrière en avant. Sei la regardait parfois du coin de l'oeil, intriguer que même si elle n'est pas venue vers lui elle l'observe encore.

"Pourquoi elle m'observe encore ? C'est bon j'ai détourné le regard. Qu'est ce que je n'aime pas me sentir observer. Allons lui parler, ça sera déjà mieux que d'être épier."

Au même moment, la jeune fille aux cheveux gris sautât en vol de la balançoire. Elle avait bien commencé son atterrissage, mais sa deuxième jambe ne suivit pas et elle finit par terre. Un petit rire sortit de sa bouche, mais un gamins se moquât encore plus fortement que lui. Difficile de ne pas entendre un gamin qui rigole. Sei lançât un regard un peu froid envers le petit moqueur et se dirigeât vers la fille à terre.

"Comment il ose se moquer du malheur des autres ? Bon, je suis mal placé pour parler mais bon. J'espère qu'elle n'a pas eu trop mal. Bon, elle n'avait pas trop l'air d'avoir envie de me parler alors je vais juste l'aider et retourner m'isoler."

Sei vit qu'elle avait quelques égratignures, il ouvrit un portail devant lui, allât dans une salle remplie de médicaments et autres et reparut à quelques mètres de la fille aux chevaux gris claire avec une sacoche de soin à la main. Il venait de montrer un de ses pouvoir mais bon, il n'allait pas la laisser par terre, blesser.

"Pourquoi je fais ça, moi ? J'aurais pu tout simplement remonter le temps et la réceptionner au vol mais bon, je sens que j'aurais pris une belle claque. Enfin bref soignons-là et partons..."

Sei s'approchât d'elle, lui lançant un regard un peu hésitant, car il ne savait pas si elle voulait bien de son aide. Mais finalement, il prit son courage à deux mains et s'agenouillât pour soigner les petites égratignures aux genoux qu'elle avait subies. Une fois les premiers soins exécuter, il lançât la sacoche à travers un portail pour la remettre à sa place et aidât la jeune fille à se relever et à s'asseoir sur un banc. Sans demander son reste, il fit demi-tour et pris la direction de l'arbre.

"Va-t-elle me parler cette fois ? Je me le demande bien. Je ne pense pas, parler aux inconnue n'est pas une pratique courante. Ah ! Et si elle n'avait pas appréciée mon aide et qu'elle vienne m'en coller une ? Oh et puis zut, je subirais les conséquences..."

Je ne m'attendais pas se que quelqu'un vienne a mon aide, après tout quand je redressa la tête je vis le garçon avec un air un peu inquiet me tendant la mains avec une trousse de soin a ses coté. Je me demandé bien d'où sorte cette fameuse trousse de premier soin d'aussi loin que je l'avais observé il n'avais pas de sac et encore moins une trousse avec une croix rouge dessus. Enfin le comment du pourquoi était étrange, mais je ne refusa pas son aide, il nettoya les plaie avec beaucoup de soin et me mis quelque pansement et m'accompagna jusqu'au banc le plus proche. Entre temps, il lança la sacoche de premier secours dans un cercle blanc, une sorte de portail je suppose. Voila qui répondais a ma question d'ou venez la sacoche enfin se n'était que pur supposition, comme si se portail était sont pouvoir aussi.
Une fois assise, le jeune homme repartie aussi sec, enfin presque je lui agrippa la manche de sa veste, le retenant, et d'une petite voix avec un sourire lui dit:

"Merci beaucoup,.... Je m'appelle Aiko et toi?"

"Merci beaucoup,.... Je m'appelle Aiko et toi ?"

Elle venait de s'attraper par la manche de sa veste. Le visage du jeune homme n'arrivait pas à cacher son étonnement. C'était la première fois qu'on le retenait pour parler avec lui, qui plus est, c'était une fille qui le retenait. Yoru est sans doute froid avec tout le monde, mais dans cette situation il ne pouvait pas vraiment l'être. A la place, il se sentit un peu gêné d'être remercier, il faut dire qu'on ne lui parle pas souvent et encore moins pour le remercié.

"Hmmm ? Il... Il n'y a pas de quoi. Moi c'est Yoru, Yoru Suzuki."

"Pourquoi ? Pourquoi tu ne fais pas comme tout le monde ? Pourquoi tu cherches à me connaitre ? Enfin bref, on dirai que tu vas pas me lâcher alors autant parler un peu, j'ai que ça à faire."

Yoru s'assit à côté de cette fille aux cheveux gris claire, espérant qu'elle lui lâche la manche. Il n'était pas très doué pour parler avec les gens et encore moins pour lancer une discussion. Des ses yeux marron, Yoru regardât Aiko puis regardât le ciel.

"C'est un joli prénom, Aiko. Mais je ne vais pas lui dire ça, ça la gênerait peut-être et la discussion s'arrêterait sans vraiment avoir commencé. Que dire ? Que dire ?"

Malheureusement pour le jeune homme, sa pensée fut plus forte et il l'achat tout en regardant le ciel une phrase.

"C'est un joli prénom Aiko..."

Il venait à peine de comprendre ce qu'il venait de dire qu'il baissât les yeux, gêné de l'avoir pensé tout haut. Il n'avait vraiment pas l'habitude de dire des choses gentilles.

"Aaaah ! Pourquoi je l'ai pensé tout haut ! Quel imbécile je suis. Qui sait ? Elle ne m'a peut-être pas entendu ?"

Escapade vers le passé au parc (Yoru Suzuki) Wallpa10

"Hmmm ? Il... Il n'y a pas de quoi. Moi c'est Yoru, Yoru Suzuki."

Alors il s’appelait Yoru, je ne le connaissait et lui non plus pour autant, mais il s'assis tout de même a coté de moi, comme pour parlé comme a une vielle connaissance. Je n'était pas très l’occase et comment dire les courants d'air aurai fait a mon avis beaucoup dans la conversation. Toute fois ce portail que j'avais vue quelque seconde m'intrigué énormément. Mais je n’osait pas lui demandé et encore moins engagé une conversation avec. Je remonta alors mais jambe et me mis en boule sur le banc en regardant le ciel avec les étoiles qui commençai a apparaître. Je me disais qu'il allais forcément partir au bout d'un moment et puis le ciel était d'une rare beauté. Pendant que je regardé le ciel, je sentie une présence qui me fixai, j'en avais vraiment horreur. Et puis dans un instant de silence les premiers mots fur lancé par Yoru.

"C'est un joli prénom Aiko..."

Cela me fit rougir, j'en était même surprise d'entendre ceci, et puis un ta de question se mis a venir en tête toutes les plus étrange que les une que les autres. Mais se qui me surpris le plus c'est de voir Yoru aussi gêné que moi, alors je fis un sourire et comme si rien n'était lui dit.

"Les étoiles sont vraiment belle se soir"

"Hé mince, elle m'a entendue. Bon ce n'est pas grave, elle ne m'en a pas collé deux alors c'est bon. Bon, maintenant que je suis là, il faudrait continuer la conversation. Que dire ? Que dire ?!"

Comment il sait qu'elle l'avait entendue ? Tout simplement car son visage la trahissait. Elle rougissait et un sourire apparut sur son visage.

"Les étoiles sont vraiment belle se soir"

"Les étoiles ? C'est vrai qu'elle n'a pas tort."

Sei regardait ce magnifique tableau que lui offrait le ciel. Le soleil avait presque entièrement disparue, rendant la lune étincelante parmi milles et unes petites lumières scintillantes. Le tout dans un fond de couleur bleu astral.

"-Hmm ? Les étoiles ? C'est vrai, mais je pense que le ciel serait bien plus jolie s'il y avait plus d'étoiles. Un jour j'arriverais à les faire revenir, toutes ces étoiles qui ont disparue. Un jour, mais il n'est pas encore venu. Excuse-moi, je parle, je parle tout en ressassant le passé. Je suppose que je suis lassant à force..."

L'atmosphère se refroidit tandis que le soleil disparaissait complètement et que les brises de vent se firent de moins en moins rares.

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