DOSSIER DE Eléa Williams
Feat;Kagura Gin Tama | « Surnom(s) :« Age : 17 ans « Métier : Etudiante à l’Académie « Type :Pique « Pouvoir{s} : Les miroirs… Eléa peut tout faire avec un miroir sous la main. Elle peut changer l’image qu’il reflète. Elle peut aussi voir ce que le miroir a reflété. Mais elle peut aussi se dédoubler: un autre «elle», exactement pareil, qu’elle arrive à contrôler de loin, mais à un détail près: son double est tout l’opposé physiquement. Elle est gauchère, mais il est droitier pas exemple… Elle n’arrive à le faire tenir éloigné d’un miroir qu’une heure. « Adjectifs : Froide, Distante, polie et franche.« Secret: - Le secret...:
Un secret est un secret, je ne le révélerais pas ici... ♥
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&.Caractère
«Je ne suis pas une coquille vide. Non, je suis humaine. Je suis unique. J’ai mon caractère.»Si je te dis qui je suis, me connaîtra tu forcément? Non. Je te dis qui je pense être, mais toi, qui pense tu que je sois? A quoi cela sert d’essayer d’expliquer qu’on n’est pas la personne que tu crois, si tu ne m’écoutes pas? Apparemment, les gens aiment bien dire que la meilleure personne qui puisse nous cerner, c’est nous. Tu veux que je me cerne? Si cela te fait plaisir… Je peux déjà dire que je suis assez solitaire. «L’union fait la force»? C’est faux. Toute ma vie, je n’ai compté que sur moi-même, et les rares fois ou j’ai compté sur quelqu’un d’autre, j’ai été déçue. Je ne suis pas non plus une associable, j’aime bien discuter avec les gens. Enfin, je dirais plutôt les écouter. Je ne suis pas très bavarde, mais j’aime bien écouter les gens. Écouter leur petite vie. Écouter comment ils ont trouvés LA robe du siècle. Les sourires, le rire, c’est sacré pour moi. Peut être car je ne souris pas souvent? Je ne suis pas malheureuse, juste que je ne montre pas mes sentiments facilement. Je n’arrive pas à changer ce point là. D’ailleurs, je n’aime pas être au premier plan. Je préfère être dans l’ombre. Je suis une ombre. Si je le veux, tu as bon être la personne la plus attentive du monde, tu ne me remarqueras même pas.
Je suis quelqu’un de très franche. Tu m’énerves? Je ne vais pas me gêner pour te le faire savoir. Mais, je peux faire preuve de délicatesse. Si, par exemple, ton chien va mourir, au lieu de te dire que ce n’est pas une grosse perte, je ne dirais rien. Je te consolerais peut être, si je suis d’humeur et si je t’aime bien. Par contre, si ton chat est mort, là, je vais vraiment te consoler, mais je n’aurais pas franchement pitié pour toi, plus pour le chat. Les chats, c’est ma grande passion. J’aimerais en avoir tout plein. Enfin, juste un.
Je peux paraître égoïste, mais je ne le suis pas. Non. Juste un peu si je ne t’aime pas ou que je ne sois pas d’humeur. Par contre, je suis très froide. Cela, je ne peux le nier. Comme je l’ai dis un peu plus tôt, je suis très renfermée. Ne t’attends pas à se qu’on se partage des secrets, je t’enverrais balader. Aussi, évite d’être un peu trop familier avec moi, genre «meuf», «ma pote» je n’apprécie pas, et il se peut que je devienne une langue de vipère… Enfin, c’est à toi de voir ce que tu veux. Moi, je suis polie. Si on résume tout cela, je suis un être froid, renfermée, polie et franche. Ceci n’est qu’un avant goût de mon caractère, alors, si tu veux me connaître (ou pas) un peu mieux, viens m’aborder! En principe, je ne te fausserais pas compagnie.
«Jamais personne n’arriverait à écrire le caractère de quelqu’un complètement, c’est trop complexe.»&.Physique
« La beauté est différente suivant le regard de chacun »Maintenant, naturellement, vous voulez connaître mon physique? On se croirait dans un interrogatoire… Bon, je vais me voir dans un miroir et je vous explique comment lui il me voit. Cela marche? D’accord!
Je suis assez grande, 1m 75, et je suis très fluette: 55kg. J’ai la peau pâle, elle ne veut absolument pas bronzer celle-ci, malgré que je sois resté au soleil. Mon visage est fin, avec un petit menton pointu et des pommettes proéminentes. Mon nez est discret, et j’ai des yeux bleus ciels en amandes. Mes lèvres, quant à elles, sont très fines, peut être trop. J’ai aussi une longue chevelure rousse, presque rouge, ce qui m’a valu mon surnom à l’école primaire de « poil de carotte ». J’ai quelques formes, là où il faut et en quantité suffisante, et je ne cherche pas forcément à les renforcer. J’ai de longs doigts et de longues jambes mais elles ne font pas forcément 15 mètres de longs.
Tout d’abord, il faut savoir qu’un sourire ne décore que très rarement mon visage. On m’a souvent dit qu’il fallait que je sourie plus, car j’étais plus jolie avec. Je ne sais pas si c’est vrai. Je pense que les gens se heurtent généralement à un visage rarement expressif, avec une ligne droite qui sert de bouche. Si tu arrives à me décrocher un sourire ou à me mettre dans tous mes états… Eh bien, je n’ai aucune idée de se qui se passe. Évite pour me mettre dans tous mes états, d’accord?
Pour le style vestimentaire eh bien… Je fais très attention à ce que je mets. Je ne vais pas m’habiller en clown non plus! Je mets des habits très sobres, pas de froufrous, ni de jupons, ni tout le tralala. Je suis variée dans mes choix vestimentaire: jupes, robes, jean, pantalon… Je porte généralement des couleurs neutres avec quelques petites touches de rouge par là, de rose ici… Mes cheveux sont généralement lâchés, même s’il m’arrive quand je suis motivé, d’essayer de faire des chignons, une natte ou encore une queue de cheval.
« Alors, le miroir n’a pas été trop dur sur mon physique, je dirais même qu’il me décrit comme étant quelqu’un d’assez jolie… »&.Histoire
« On ne peut oublier le passé, on ne peut l’ignorer, car il est ce que nous sommes »Je pense que c’est la dernière chose que tu veux savoir sur moi? Je peux dire que je ne suis pas une fille « normale ». Enfin, normale chez les gens normaux. Ici, je suis normale. Car j’ai un don.
Mon don est apparu à cinq ans. J’étais toute petite, et je me demandais pourquoi ma mère passait des heures des heures devant son miroir. Peut-être y avait il une télé? Alors, curieuse comme j’étais, je suis allé farfouiller dans sa chambre. Devant son miroir, j’ai vu tout ce qu’elle avait fais quelques minutes plus tôt. C’était passionnant. Je dois avouer que j’aimais bien fouiner dans les affaires des gens. Quand j’ai raconté à ma mère l’épisode du miroir, elle m’a regardé avec des yeux ronds en me disant d’arrêter de l’espionner. Elle ne m’a jamais crue. Finalement, je préfère qu’elle ne sache pas la vérité.
J’étais dans une petite famille aisée, bien soudée. Mon père était un grand technicien, et ma mère une femme au foyer. Avant, elle était docteur. Mais elle a préféré laisser tomber, pour s’occuper de moi et plus tard, de mon petit frère. Je lui en suis reconnaissante. Je pense que mes parents ne se trompaient pas mutuellement, les disputes étaient rares et mon petit frère un ange. Je devais être la seule personne bizarre dans la famille…
J’adorais mon père et ma mère, mais mon petit frère était toute ma vie. Malgré qu’il soit né deux ans après moi, je le traitais toujours comme une petit enfant de 3 ans. D’ailleurs, c’était le seul qui savait pour mon don. C’était le seul qui me croyait. On s’amusait beaucoup avec celui-ci, à regarder ce que les gens avaient fait. On était toujours fourrés ensemble, si bien que nos parents nous appelèrent « les inséparables ». Mon frère était le seul sur qui je pouvais compter. J’avais fais confiance à d’autre gens sur mon don, ou sur autre chose, cela a toujours mal finis. A l’école, une amie avait lâché pour mon don, et tout le monde avait peur de moi et me montrait du doigt. J’ai réussis à faire croire à tout le monde que c’était une blague, mais je n’ai plus jamais eu de véritables amies.
A mes dix ans, mon don me faisait véritablement peur. Je commençais à changer l’image que les miroirs reflétaient, mais aussi, mon double me faisait presque peur. Lukas a trouvé cela hyper classe, pour reprendre ses mots, et m’a remise en confiance. J’ai toujours eu peur de cette différence, et je devenais de plus en plus renfermée. Mes parents s’inquiétaient réellement. Je peux appeler cette phase de ma vie « la déprime ». Quand j’en suis enfin sorti, cela avait duré un an, j’avais pris des résolutions, faire très attention et ne plus jamais me servir de mon don. Je pense que c’est ceci qui a permis que je file entre les doigts de l’Académie aussi longtemps.
Je commençais à vivre une vie normale, malgré que mon frère soit un peu déçu du fait que je n’utilisais plus mon don, il respectait mon choix. Mais je pense que ce qui a tout chamboulé, c’était une nuit, dans une rue, avec mon frère. Un gang nous avez attaqué, et avec Lukas, on courait à perdre haleine, jusqu’à ce qu’on arrive devant une vitrine, avec tout un tas de miroir dedans. Je n’ai pas hésité. J’ai rapidement changé l’image que les miroirs reflétaient, montrant des policiers, ce qui a profondément troublé le gang, vu qu’il n’y avait personne dans la rue, à part nous. Je ne me suis pas arrêtée là. J’ai invoqué mon double, et je lui ai rapidement donné mes consignes, avant de prendre le bras de mon frère et de nous enfuir.
Je pense que c’est cela qui a permis à l’Académie de m’enlever, pendant mon sommeil…
« Petit frère… Tu me manques, mais on se reverra. Je n’ai plus peur de mon don. Il y a plein de gens comme moi ici. »&.Celui qui se cache derrière l'écran
« Age : Entre 0 et 1 000 ans.
« Surnom : Donne moi en un!
« Comment as-tu découvert le forum? *trou noir* Heu... D'un... Annuaire...
« As-tu tout lu? Attention à la cheville, vous n'allez plus pouvoir passer les portes...
« Comment trouves-tu le forum? Si je suis là, c'est que je le trouve sympatoche!
« Un dernier mot? Nope! Ah, si! J'adore les bisous et les câlins. 8D //TGV//