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 [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16]

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THE KING OF SHADOW *pan*


Noroi Tetsuya
Noroi Tetsuya

THE KING OF SHADOW *pan*

■ Fiche : è.é | Liens.
■ Statut : Elève - Serveur.
■ Messages : 211
■ MPV : 479
■ Age : 30
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■ Avatar : Hijikata Toushirou (Gintama)

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Message Sujet: [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16]   [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon_minitimeDim 4 Sep - 4:13


    Tu ne t'attendais pas vraiment à ce qu'il t'emmène chez lui, tu es un peu gêné et heureux à la fois. C'est vrai que tu commençais à avoir un peu froid, tu ne dis pas non à un endroit qui possède un peu de chaleur. Tu restes planté là comme une andouille en même temps tu ne savais pas trop où te mettre. Il y avait des affaires un peu partout, tu ne dis pourtant rien, ce n'était pas l'envie qui manquait mais tu pensais que cela aurait été déplacé. D'habitude tu te fichais d'avoir un manque de tact pas possible mais là, rien n'est comme d'habitude. Une douce odeur de café se rependait lentement dans la pièce. Tu as même réussi à réprimais un rire moqueur lorsqu'il est revenu avec un visage où la honte gagnait du terrain en un temps record. Il était mignon comme ça, à ranger, à essayer de te faire bonne impression. Tu en profites pour regarder autour de toi, cet appartement est dix fois plus vivant que ta chambre. Tu ne sais pas trop en quoi et puis de toute façon même une déchetterie est plus vivante et joyeuse que ta pièce. La tienne est si vide, il n'y a que le strict nécessaire: pas de poster, pas de photo, rien que l'on peut trouver de superflue. Pas même de vêtement trainant partout, toujours bien rangé, Tu es un sacré maniaque.

    Tu profites de son absences dans la cuisine pour t'assoir sur le canapé. Il était plutôt confortable, tu pourrais presque t'endormir tellement tu te sentais bien dedans, il fut dire aussi que tu étais un peu fatigué en dépit du fait que tu t'es assoupis tout à l'heure. Tu devais avoir des gênes chats, tes yeux commençaient à se fermer tout doucement. Sa voix te tira de ton assoupissement. Il s'assoit près de toi, tu poses ta tête contre son épaule.

    « Un café n'est pas de refus mais je me passerai des gâteaux, les sucreries tout ça ce n'est pas mon truk. »

    Il est plutôt attentionné comme personne. Tu n'osais pas lui avouer que manger tout court n'était pas ton truk. Tu te nourrissais uniquement parce que c'était vital, si tu pouvais t'en passer tu le ferais volontiers. La tasse de café, étant un peu chaude, tu la reposes aussitôt. Tu ne soupçonnais pas tes doigts si froid, c'est comme si elle t'avais brûlé l'épiderme. Tu ne savais pas trop comment te comporter, et c'est maintenant que tu t'en soucis ? Devais-tu lui prendre la main, l'embrasser ? Tu n'en avais aucune idée, tu ne savais même pas s'il en avait envie. Tu avais trop peur de faire un faux pas, de faire quelque hose qui le lui plairait pas. Aujourd'hui tu as fais une étrange rencontre, tu as crées cette situation, tu ne regrettes rien. Alors que les autres jours était si las c'est comme si en ce jour, tout le bonheur que tu n'avais pas eu s'était accumulé et t'étais tombé dessus d'un coup.

    « Est-ce que ça vous ennuierait que je reste ici ce soir ? Je n'ai pas tellement envie de rentrer chez moi. »

    Tu n'avais pas envie de retrouver ta pièce vide après tout ça, tu n'avais plus envie de quitter celui qui est devenu ton amant. Il ne fallait pas non plus que tu sois une gêne pour lui. Toi qui te tenais toujours à l'écart, la solitude t'effraie à présent. La fumée qui se dégageait de ta tasse t'indiquait que la chaleur n'était toujours pas partie.




Dernière édition par Noroi Tetsuya le Dim 25 Déc - 14:07, édité 1 fois
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[NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] _
Message Sujet: Re: [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16]   [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon_minitimeJeu 22 Déc - 8:53




    [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon7n
    [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon19m
    ♪ « A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
    Et regarder les gens tant qu'y en a
    Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
    En serrant dans ma main tes p'tits doigts » ♪


• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre •


Quel boulet je faisais tout de même ! Si j'avais su, j'aurais vraiment tout rangé, le pauvre, il devait être tout aussi gêné que moi je penses. Je suis sur que sa chambre doit être impeccable et bien mieux que la mienne. On dirait celle d'un gamin qui laisse tout traîner moi, ça ne fais pas très sérieux, et pas du tout adulte même. De toute façon, je ne sais même pas si je pouvais me définir comme tel, je suis plus que gamin dans ma tête quand je le veux. Mais là, il fallait que je me montre mature devant lui, agir comme un adulte responsable, lui plaire, lui en jeter plein la vue, et faire bonne impression ! Il fallait que je me ressaisisse !

Bref, ceci étant, j'étais dans la cuisine, en train de préparer tout ça, que je pensais encore à lui, alors qu'il était juste dans la pièce d'à côté . C'est simple, depuis la première fois où je lui ai parlé, jusqu'à ce soir, où je l'ai ramené dans mon appartement je n'ai cessé de penser à lui. Ce garçon... Mince ! Je dois arrêter ça. Alors je me concentre comme je peux sur mon café, et prépare un petit plateau avec tout ça, en espérant que ça lui plaise. Lorsque je reviens dans la pièce avec tout ça, je l'aperçois qui s'assoupissait, et du peu que j'ai vu, je le trouvais vraiment craquant dans son sommeil, il avait l'air tellement innocent, mais ça n'avait durer que quelques secondes. J'avais tellement envie d'en voir plus, il fallait qu'il reste dormir ici, avec moi, contre moi ! Je voulais passer la nuit entière à ses côtés à le regarder dormir, rêver, paisiblement. Mon arrivée le réveilla cependant, et il ne fit comme si de rien n'était. Je posais tout ça sur la table et m'assis à côté de lui. Je n'eu à peine le temps de bien m'installer que sa tête vint se poser doucement contre moi, tel un enfant qui se blottit contre ses parents en regardant un film le soir par exemple. Bizarrement, il ne voulait pas de gâteaux, c'est bizarre, je l'aurais plutôt vu fan de ce genre de petites gourmandises sucrées... Comme quoi je ne suis pas le meilleur pour cerner les gens. J'émis presque un petit rire quand il se brûla avec la tasse, mais ce n'était nullement méchant.

« Et bien fait attention, c'est chaud voyons. Puis nous venons de dehors, nous ne sommes pas encore tout à fait réchauffer... Donne moi tes mains, je vais te les réchauffer.»

Mais je lui pris ses mains avant qu'il ne réponde et les serra dans les miennes, les frottant entres elles, et les portant à mes lèvres pour les embrasser. Puis je lui laissais boire son café tranquillement, tout souriant de mon côté, mangeant mes petits muffins que j'avais fait moi même, et buvant mon café à mon tour. Sauf que je manquais de m'étouffer quand il me posa LA question que j'attendais tant. Alors j'essayais de cacher mon étonnement, tout comme ma joie. Et je reposais donc ma tasse sur la table, avalant ma bouchée et le fixa tout souriant.

« Tu ne croyais tout de même pas que j'allais te laisser repartir dans ce froid et surtout à cette heure ci ? Il était bien évident que tu restes dormir ici, tu n'avais même pas besoin de poser cette question, mais ça me touche que tu me le demandes. Donc la réponse est oui, tu peux rester, et rassure toi, ça ne me dérange pas. Je vais juste ranger un tout petit peu...»

Et oui, je n'avais pas pensé à ça ! Il passerait forcément par la salle de bain pour se faire un brin de toilette avant de se changer, et j'y avais jeté toutes mes affaires en vrac. Pris d'un élan de panique je me levais d'un bond, manquant à mon devoir d'hôte en le laissant tout seul, sans aucunes distractions, et filait dans la salle de bain pour tout ranger et fourer dans mon armoire. Mince, c'est fou le nombre de fringues sales qu'il y à, il va falloir que je me bouge pour aller faire une lessive et au plus vite. Mais ce n'était pas le sujet actuellement, je remis tout en ordre le plus vite possible, et quand je revins dans le salon, je m’apprêtais à lui dire qu'il allait dormir dans mon lit cette nuit, quand je m'interrompis, en le voyant totalement endormi, sur mon canapé. Mon dieu qu'il était beau. Cela vous semblera bizarre, mais je m'assis sur ma table basse, et je l'ai regardé dormir pendant un bon long moment. S'il s'était réveillé, j'aurais paru très con, mais ce n'est pas arrivé. Cependant, il était mon invité, et je ne pouvais le laisser dormir sur mon canapé, alors je le pris dans mes bras, et l'emmena sur mon lit, le couvrant d'une couverture... Et comme pour veiller sur lui, et je ne sais pas pourquoi, je pris mon fauteuil de bureau et m'installa juste à côté de lui! Je le regardais, je souriais... Je l'aimais. C'était aussi simple que ça... Je lui caressais la joue et me leva quelques secondes pour lui déposer un léger baiser sur les lèvres en lui chuchotant très doucement un bonne nuit. Puis je repris ma position initiale dans mon fauteuil, et finit par le rejoindre dans son sommeil...




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THE KING OF SHADOW *pan*


Noroi Tetsuya
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Message Sujet: Re: [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16]   [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon_minitimeJeu 22 Déc - 10:44


    « Et bien fait attention, c'est chaud voyons. Puis nous venons de dehors, nous ne sommes pas encore tout à fait réchauffer... Donne moi tes mains, je vais te les réchauffer.»

    Ses paroles étaient aussi chaleureuses que le contenu de ta tasse. Tu découvris sans plus tarder qu'il n'y avait pas que ses paroles. Tu savais déjà que c'était une douce et gentille personne, Tu le savais mais cela ne t'a pas empêché d'être surpris lorsqu'il t'a pris les mains. Son baiser semblait infiniment plus tendre que les autres. Tu ne savais pas si oui ou non la gêne était imprimée sur ta tête et qui se traduisait par tes joues qui viraient au pourpre. Tu finis par boire cette boisson qui fût si ardente. Ce liquide bouillant se répandait lentement mais sûrement dans les moindres parcelles de ton corps. Ça te faisait beaucoup bien et pas seulement à cause de ce café, c'était tout le cadre environnant. Comme si tout était une illusion. Mais cela n'en était pas le cas et c'est ça qui te rend encore plus heureux. Jamais tu n'aurais pu imaginé une situation telle que celle-ci, même en rêve.

    En posant cette question avec tant d'innocence, tu n'avais pas idée que ton professeur s'en étoufferait presque. Tu as d'abord cru que tu avais dit quelque chose de travers, que c'était une interrogation déplacée ou tu ne sais quoi d'autre de pas très positif. Son sourire t'a grandement rassuré.

    « Tu ne croyais tout de même pas que j'allais te laisser repartir dans ce froid et surtout à cette heure ci ? Il était bien évident que tu restes dormir ici, tu n'avais même pas besoin de poser cette question, mais ça me touche que tu me le demandes. Donc la réponse est oui, tu peux rester, et rassure toi, ça ne me dérange pas. Je vais juste ranger un tout petit peu...»

    Tu faillis rire, il était si attendrissant.

    « Non … Ce n'est pas ça … C'est juste que je ne voudrais pas dérangé. Je n'ai pas trop l'habitude d'être chez quelqu'un d'autre, » Tu tentais vaguement de te justifier. « En tout cas c'est gentil, merci beaucoup. »

    Ce n'est pas certain qu'il t'ai entendu à cent pour cent. Ta voix se faisait lourde et tu trouvais ce canapé de plus en plus confortable de plus, il était déjà parti bien avant que tu commences à parler. Tu replias tes jambes contre toi, te lovant dans un coin de ce moelleux divan. L'odeur de café était toujours présente mais celle qui dominait le plus, c'était bien évidemment celle de Yukio. Elle était si paisible. Il t'importait peu que cet appartement soit en dessus-dessous. Juste le fait que ce soit celui de la personne qui t'a embrassé quelques minutes plus tôt était suffisante pour juger qu'il s'agit d'un cocon dans lequel tu veux bien t'enfermer.

    Tu ne sais pas si à partir de quand tu as commencé à t'évader de la réalité mais une chose est sûre, ce n'est pas ici que tu t'étais endormi. Tu ne réalisas pas d'abord où tu étais ta localisation précise. Sûrement parce qu'il faisait noir et que tu n'es pas nyctalope quand bien même tu es un oiseaux nocturne et qu'il t'arrive souvent de faire des nuits blanches. Il y a toujours cette délicate odeur qui flotte autour de toi, elle signifie que tu es toujours chez lui. Cela te rassure, non pas que tu sois paniqué mais tu aimes bien savoir ce qu'il se passe quand même. En bougeant un peu ton corps tu t'aperçois que tu es dans un lit, dans son lit. Tu arrives à attraper un oreiller non loin de toi, tu plongeas ton nez à l'intérieur, c'était si bon. Ton cerveau se mettant du temps à se réveiller tu finis par te demander où était passé Yukio. Bien sûr, il n'était pas avec toi ce qui t'as un peu déçus: tu aurais bien aimé te blottir contre lui là, tout de suis, maintenant. Tu t'assis d'abord sur le lit en te demandant s'il était sur le canapé où tu dormais initialement ou s'il avait carrément quitté son appartement -chose que tu fais régulièrement puisque tu détestes ta chambre, les vadrouilles de nuit ça te connais- seulement tu n'aurais pas apprécié qu'il le fasse alors tu écartas au plus vite cette hypothèse de ton esprit. A tâtons tu cherchais un mur sur lequel t'appuyer, avoir un repère. A peine as-tu eu le temps de te lever et de marcher que tu te pris les pieds dans ce qu'il semble être une chose assez haute et massive pour te faire trébucher.

    « Aie.. »

    Peut-être que maintenant tu remets en cause du fait que tu t'en fichait que cet appartement soit en sens dessus-dessous. Une fois à terre, tu priais pour ne jamais devenir aveugle, c'est vraiment pénible. Tu te relèves, tu t'aperçois avec le bout des doigts tu arrivais à mieux cerner ton vil obstacle, à la matière et à la forme on dirait un fauteuil. Allons bon, ce n'est plus les vêtements mais le mobilier qui jonche dans tous les sens ? Tu ris intérieurement à cette idée. Tu perçus aussi autre chose, une chose à laquelle tu n'avais pas songé à te baser: à l'ouïe. Oui bon ça va, ce n'est pas forcément la première chose à laquelle on pense quand on se réveille tout seul dans le noir. Tu entendais une faible respiration. Sans rire, Yukio serait resté dans ce fauteuil à côté du lit où tu dormais ? Il aurait franchement pu te rejoindre. Le pauvre il doit avoir le dos en vrac. Une pensée vint te foudroyer le cerveau: c'est aussi lui qui t'a transporté jusqu'au lit. Peut-être qu'il a du pensé que tu aurais trouvé déplacé qu'il dorme avec toi. En tout cas, c'est vraiment une personne délicate.

    Et maintenant tu te demandes bien ce que tu vas pouvoir faire, tu as finis par le trouver bien plus vite que tu ne l'aurais pensé … Tu ne sais même pas quelle heure de la nuit il est. Tu n'oses pas non plus déplacé Yukio sur le lit de peur de le réveillé. Oui c'est vrai qu'il l'a fait mais là en plus tu ne te sentais pas de le faire, tu n'as pas si confiance que ça en tes muscles qui ne sont pas encore bien réveillés. Tu serais bien capable de le faire tomber en plus. Et puis bien sûr la chose la plus intelligente à laquelle tu ais pu penser faire maintenant c'était de localiser sa tête et d'y poser un tendre baiser sur ses lèvres. Tu pris la couverture dans laquelle tu dormais pour la lui mettre au dessus de lui. Au moins il n'aura pas froid.

    Tu n'avais définitivement plus sommeil, tu partis donc de la chambre une fois de plus à tâtons, faisant bien attention à lever les pieds, juste au cas où tu retomberai à nouveau sur un Yukio endormi. Pas que ça te déplaise mais la relation entre un fauteuil, ta tête et la moquette est vraiment déplaisante. Heureusement que c'est un appartement et pas une maison, t'en aurais plus bavé à trouvé les fenêtres du salon. Seuls de petits appareils électriques constituaient un repère visuel puis au fur et à mesure, tes yeux s'habituant à l'obscurité, et aussi grâce à ton professeur qui n'avait pas fermé les volets, tu finis par voir ce qu'éclairait la lumière de la lune. Tu croisas rapidement un réveil à affichage digitale qui t'indiquait quatre heure du matin.

    Tu t'assis bien sagement près de la porte vitrée. Tu aurais bien voulu l'ouvrir et aller sur le balcon pour en fumer une ou deux mais tu craignais le froid et tu en connais un qui serait un peu en colère de te voir enrhumé parce que tu aurais été dehors à une heure si tardive et par un temps à faire congeler un ours polaire. Tu ris silencieusement, cela fait du bien d'avoir une personne qui prend soin de soi. Cela fait aussi très longtemps que cela n'est pas arrivé. Tu observes les faibles lumières de la ville. Tu pouvais faire ça pendant des heures, et tu l'aurais surement fait si tu n'étais pas resté avec cet homme et que tu serai retrouvé chez toi. Tu n'osais pas non plus fumer à l'intérieur. Tu te contentais donc de regarder ce qu'il se passait à l'extérieur et tu constates que c'est aussi calme qu'à l'intérieur. Pas un bruit, pas un chat. Les étoiles étaient agréables à regarder tout comme le couché de la lune pour faire place au soleil. Tu n'avais pas bouger d'un pouce. Le orange embrasait le ciel. Tu as vu des centaines d'aurores, jamais tu ne te lasseras de les regarder encore et encore.

    Il faisait à présent assez jour pour voir l'intérieur du salon. Ce pauvre homme a dû tellement s'occupé de toi qu'il en a oublié de ranger la table basse qui supportait encore les gâteaux et deux tasses. Tu les pris en essayant de faire le moins de bruit possible tout en tentant de les nettoyer à la main. Le jet d'eau faible te faisait du bien sur les mains. Tu finis par savoir où tout cela se rangeait à force d'ouvrir et de fermer les placards. Tu pensais à faire du café mais peut-être que la cafetière ferait trop de bruit, tu ne te souviens pas si elle en faisait hier soir ou pas. Et puis de toute manière, tu ne sais pas comment l'utiliser … Tant pis. Tu pensais aller chercher des croissant, la boulangerie ne semble pas si loin d'ici mais tu y renonça aussitôt de crainte de rater le réveil de Yukio qui a du passer une nuit terrible dans son fauteuil. Finalement il n'y avait rien que tu puisses faire, tu te sentais très inutile sur le moment. Bien que ça ne change pas forcément de d'habitude mais bon. Tu aurais quand même bien voulu faire quelque chose, n'importe quoi du moment que ça lui rende service mais là, tu n'en avais aucune idée. Tu repris donc ta place au près de la fenêtre. Le monde commençait à s'agiter: les boutiques s'ouvraient, les passants s'agitaient dans les rues encore toutes humides par la rosée.

    Et toi, tout calme, tu attends patiemment le réveil de cet homme qui vient de prendre une place énorme dans ton cœur.


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[NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] _
Message Sujet: Re: [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16]   [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon_minitimeSam 25 Fév - 16:17




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    [NC-16]• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre • [NC-16] Icon19m
    ♪ « A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
    Et regarder les gens tant qu'y en a
    Te parler du bon temps qu'est mort ou qui r'viendra
    En serrant dans ma main tes p'tits doigts » ♪


• Quand le problème n'en est pas vraiment un... Il faut tout de même le résoudre •


Cette nuit n'avait pas été une des plus confortables que j'avais pu passer au court de ma vie certes, mais je n'avais jamais fait des rêves si beaux. Comme quoi il m'en fallait peu pour retrouver des nuits de sommeil plutôt normales, et paisibles, tout ça, grâce à ce gamin, cet énergumène, ce petit homme qui va devenir bien plus que ça dans ma vie. Du moins je l'espère. Dans le rêve que j'ai fait cette nuit là, je me réveillais dans une maison, dans un environnement paisible, où tout paraissait si pur. C'était une maison à la campagne, car lorsque je me suis levé, en regardant par la fenêtre, une étendue d'herbe, des arbres, le chant des oiseaux, et le soleil éclairant cette verdure magnifique. Je regarde mes mains, en ouvrant la fenêtre de la chambre pour respirer cette brise fraîche de printemps, et je remarque.... Une bague. Un anneau, un alliance, appeler ça comme vous voulez, mais c'est un bijoux qui représente qu'une chose: le mariage. Je me souviens de la première pensée que j'ai eu dans ce magnifique rêve: qui ? Avec qui je suis marié? C'est frustrant ce genre de chose, de se rappeler d'un rêve , mais de ne rien pouvoir y faire. Toujours est-il que ce rêve ce poursuit, doucement mais sûrement. J'ai envie qu'il dure le plus longtemps possible, car cette sensation de calme absolu est totalement ce que tout le monde désire. Une douce odeur de beurre fondu se fait sentir, alors je décide de sortir de cette chambre si blanche et si parfaite. Peut-être trop. Un long couloir se présente à moi, puis des escaliers. L'odeur provient de là bas, alors je descends. Les marches grincent, mais cela ne m'empêche pas d'entendre les bruits venant probablement de la cuisine, j'entends le bruit des assiettes , le crépitement du beurre qui chauffe sur la poêle, plus quelque chose qui cuit, et vu l'odeur, je pencherais sur du bacon, ou quelque chose du genre. Et là je me dis: C'est Shizuka. Elle a toujours aimé cuisiné le matin pour moi, pour me faire des petits déjeuners, des choses que j'aime. J'arrive en bas des escaliers, je ne regarde même pas le reste de la maison, et je me dirige, tel un robot, vers l'endroit d'où vient cette odeur. La cuisine. On aurait dit que le temps était ralenti, mon cerveau voulait activer la poignée, mais mon corps refusait de bouger. Que c'est frustrant. Mais la volonté nous permet d'avancer encore plus loin, et cette volonté, bien que ce ne soit qu'un rêve, et que tout cela ne reste que mental, mais je réussis enfin à ouvrir cette porte. Le rêve le plus salaud du monde aurait pu s'arrêter là, mais il s'arrête tout juste après. Après que je vis ce jeune homme, Noroi Tetsuya, qui se retourne, et qui me dis en souriant " Je t'ai préparé le petit déjeuner mon homme." Choc total pour mon cerveau, puisque je me réveil en sursaut...

Mes yeux peinent à s'ouvrir à cause de la luminosité trop forte de ce réveil si brusque. Cela doit faire quelque temps que le jour est levé, car en regardant par la fenêtre, je peux voir que le soleil est déjà bien haut dans le ciel. Aurais-je dormi si longtemps ? Tout ce que je sais, c'est que j'ai très mal au cou et au dos, en même temps, dormir dans un fauteuil, ce n'est pas l'endroit le plus confortable du monde. Puis mon rêve me revient en pleine figure, en regardant autour de moi, je constate que tout n'est pas si calme et parfait. C'est la désordre complet dans cette chambre, même le lit n'est pas fait... Le lit.. Mais ! Où est passé Noroi ?! Je regarde le réveil, il n'est que 10h passé, et nous sommes Samedi, il n'a pas de cours. Il ne peut pas être parti sans prévenir ! Non pas lui, pas encore une seconde fois. Ce n'est pas vrai. Pourquoi est-ce que ce genre de chose n'arrive qu'à moi ? Je suis si malchanceux en amour. Ai-je mérité tout ça ? Faut-il que je me mettes à croire en Dieu pour que je puisses être heureux dans ce foutu monde ?! Je sens les larmes qui montent, et je me dis que je réagis peut-être un peu vite. Je me lève brusquement de mon fauteuil, faisant craquer la moitié des os de mon corps. Mes muscles sont douloureux, mais tant pis. J'ouvre la porte de ma chambre, peut-être un peu trop précipitamment, car elle frappe le mur assez violemment et fait tomber le tableau encadré qui était juste à côté. Tout ça, devant l'air incrédule de ce cher Noroi, qui m'attendait bien sagement dans mon salon. J'ai encore les yeux tout humides, j'en tremble presque, le coeur qui palpite, et lui, il est toujours là, il a attendu que je me réveille, je m’aperçois même qu'il a rangé tout ce dont nous nous étions servis hier soir. Qu'il est adorable. Je tombe vraiment amoureux de lui. Il doit me prendre pour un fou, à le regarder comme ça, complètement haletant, les bouts de verre de mon cadre à mes pieds, la porte limite encastré dans le mur.

« J'ai cru.... J'ai cru que tu étais parti...»

Je ne pu me retenir d'aller vers lui, de me jeter presque sur lui, afin de le prendre dans mes bras, quelques larmes coulant de nouveau, et de lui répéter en chuchotant : « Je t'en prie, ne me quitte jamais... ». Je sais que j'avais l'air con, qu'il n'y avait rien e pire pour effrayer quelqu'un, mais il fallait que je me réconforte moi même plus qu'autre chose. Et j'ai été bête de penser qu'il puisse partir... Seulement après ce que j'ai déjà vécu, on peut vite devenir parano. Cependant, j'avais envie de lui prouver tellement de chose à ce petit homme, que je ne pu m'empêcher de le serrer encore plus fort dans mes bras, et de l'embrasser passionnément.

« J'espère que tu as passé une bonne nuit dans ma petite chambre... Tu t'es endormi très vite hier soir et je ne pouvais pas te laisser dormir comme ça sur mon canapé. En tout cas, tu es très mignon quand tu dors... Et pas que quand tu dors naturellement»

Cela me faisait bizarre de redire ce genre de mots doux. J'en avais presque oublié ô combien c'était agréable de les dire, et encore plus de les entendre. Mais je penses qu'il n'est pas comme moi, que pour entendre ce genre de petites choses, j'allais encore devoir patienter un petit moment. Je le laissais de nouveau tout seul pendant quelques instants pendant que j'allais préparer le petit déjeuner, puis je laissais tout de côté une fois cuit, ayant envie d'aller me prendre une douche avant d'aller manger. Habitué à être seul, je commence à enlever mon noeud papillon, j'enlève mon gilet d'homme, que, naturellement, je laisse tomber par terre, et au moment d'enlever ma chemise, je me rends enfin compte qu'il me fixe, et d'un coup, je rougis. Mais oui, je ne suis pas seul... Quoi que ça n'a pas l'air de lui déplaire tant que ça, m'enfin. Je me dis que des corps d'hommes, il a déjà du en voir, dans les vestiaires ou autre. Mais à faire mon malin, et vu la nuit que j'ai passé, en retirant ma chemise, j'entends un drôle de craquement, qui m'envoie une décharge électrique dans le dos, suivi d'un grand cri de douleur de ma part....

« Ah la vache ! Je crois que je viens de me bloquer le dos... Tu pourrais venir m'aider un peu ? Je ne peux plus bouger là... Et j'aimerais bien me doucher»

Sans que je m'en rendes compte, ce que je venais de dire pouvait limite ressembler à des avances. Est-ce qu'il les prendrait comme tel, ou est-ce qu'il va juste venir m'aider, avant de repartir dans sa chambre ? Je ne sais pas, mais moi, j'ai envie qu'il opte pour le premier choix...




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Tes yeux rivés sur la fenêtre un peu sale se détournant brusquement au côtés opposé, à cause d'un vacarme inopiné. Cela ne faisait aucun doute quant au réveil de Yukio. Soit il s'est transformé en ours pendant la nuit soit il n'est pas du matin si l'on se base à l'ouïe. Le bruit était composé d'une ouverture brutale d'une porte suivit d'un cadre se fracassant en milles morceaux sur le sol. Yukio était là, dans la même pièce que toi, il haletait comme s'il avait couru un marathon et les yeux larmoyant. Peut-être avait-il fait un mauvais rêve ? Sans la moindre incompréhension il se jeta sur toi, t'enfermant dans une étreinte un peu brutale mais tu en étais néanmoins heureux même si tu en conviens qu'il a été assez surprenant d'avoir eu une ambiance douce et calme qui a été balayé en deux trois rapides mouvements. Il était agréable d'avoir son corps, même tremblant, collé au tiens.

    « J'ai cru.... J'ai cru que tu étais parti...» Il avait la voix chevrotante. Il avait réellement eu peur que tu ais pu prendre la fuite. Heureusement que tu n'es pas parti chercher de croissants, dans quel état l'aurais-tu récupérer en rentrant ? « Je t'en prie, ne me quitte jamais... » Il te susurrait à présent au creux de l'oreille, répétant cette phrase encore et encore. Il était plaisant de savoir d'avoir quelqu'un à qui l'on pourrait manquer. Combien de temps s'est-il écoulé depuis que l'on te t'a pas enlacé ainsi ? Tu ne sais même plus si cela t'ai déjà même arriver mais cela n'a plus d'importance: c'est le présent qui compte. Tu ne savais pas non plus quoi, quoi faire à part te taire et de t'agripper aussi à lui. Peut-être bien qu'il n'y avait rien à dire, le voilà que ce grand blond t'embrasse avec passion. Ce n'est pas grave s'il te casse une côte ou deux, son étreinte était tellement agréable, en ton fort intérieur tu te dis que ce n'est pas complètement impossible vu comment il a défoncé le mur avec la porte. Tu ne pensais plus à rien d'autre qu'à lui, à ses lèvres sucrées.


    l se dégage un peu, prenant un peu de distance. Il semblait être à présent un peu plus calme, tu étais un peu plus rassuré.« J'espère que tu as passé une bonne nuit dans ma petite chambre... Tu t'es endormi très vite hier soir et je ne pouvais pas te laisser dormir comme ça sur mon canapé. En tout cas, tu es très mignon quand tu dors... Et pas que quand tu dors naturellement» Yukio s'inquiétait bien trop, beaucoup trop mais c'est un détail qui te plaît bien. Peut-être que son inquiétude ne dépasse pas non l'entendement, c'est peut-être juste toi qui n'en a pas l'habitude. Tu pourrais rougir de ses petits mots mielleux, il dit ça avec une telle adresse et avec une incroyable facilité. Tu l'admires un peu parce que tu n'en es absolument pas capable, ce n'est pas ton genre, tu espères qu'il ne s'en offusquera pas si tu ne le lui retournes pas ce genre de phrase de temps en temps. « Non, c'était une nuit paisible … Merci de m'avoir porté dans votre lit. »


Il se leva, tu ressentis une vague de froid: son corps était chaud. Même si tu étais encore dans l'incompréhension du pourquoi du comment il venait de te serrer dans ses bras., tu n'y accordais pas spécialement d'attention. Non parce que ton attention se focaliser sur autre chose. Comme un oignon que l'on épluche: Yukio enlevait ses vêtements, de ton point de vue, sans raisons apparentes. Et pour couronner le tout il ne semblait pas se rendre compte qu'il se déshabillait devant toi à en juger son visage rougissant lorsqu'il croisa ton regard en déboutonnant sa chemise. Personnellement, d'une manière paradoxale cela ne te faisait ni chaud ni froid de voir cet homme torse-nu. Mais tu ne nies pas que ça te réchaufferais s'il enlevait son pantalon. C'était un peu curieux, à part celui de cet homme, aucun corps d'homme de t'avait attirer. Même si tu étais en dépression totale suite à la mort de Sarah, il ne faut pas se voiler la face, le corps sensuel de la gente féminine ne te laissait pas totalement indifférent même si tu écartais ce genre de pensées futiles loin de ton esprit. Un grand cris d'ardeur de géhenne déchira l'appartement, il venait de l'exhibitionniste. Il avait une étrange position, comme s'il dansait « YCMA » en étant resté à la position du « Y ».

    « Ah la vache ! Je crois que je viens de me bloquer le dos... Tu pourrais venir m'aider un peu ? Je ne peux plus bouger là... Et j'aimerais bien me doucher» Ah d'accord, ça prenait tout son sens concernant son strip tease improvisé. Tu te levas, tu avais envie de rire mais tu te retenais. Tu n'es pas sûr que Yukio apprécierait, tu laissas un visage de marbre. Tu lâchas d'une voix un peu timide: « J'arrive. » Ne sachant pas non plus trop comment l'aider tu commenças par lui enlever sa chemise de ses bras puis tu lui fis un massage espérant que tes mains d'homme ne soient pas trop dures pour ne pas faire plus de mal que de bien. Pas étonnant que ses muscles soient tendus, dormir dans un fauteuil quelle idée tout de même … Enfin passons, les choses faites ne peuvent être défaites. Tu te reculas un peu. «  C'est bon je pense que vous pouvez aller prendre votre douche .. ». Tu sens bien que dans ses yeux, on pouvait lire l'envie que tu partages cet instant intime avec lui, ce n'était pas non plus l'envie qui te manquait. Tu serras ton bras droit, recouvert d'une couche de tissus qui cachait un bandage qui dissimulait une cicatrice que le temps n'a pas su effacer. Tu n'avais pas envie qu'il voit ça, c'était au dessus de tes forces. Or si tu voulais entrer dans la salle de bain avec lui, il l'aurait immédiatement remarqué et ça tu ne voulais pas. Parce qu'il y aura bien un moment où te demanderait ce que tu caches en dessous, tu pourrais lui répondre que c'est une mode esthétique comme à ton habitude mais cela serait lui mentir. Tu ne veux pas lui dire mais tu ne voulais pas le cacher. Tu avais peur. « Si ça ne vous gêne pas, j'aimerais bien y aller après vous. » Voilà qui devrait suffire à ne soulever aucuns soupçons.


Tu te baissas pour ramasser ses vêtements par terre, un élan de nervosité il fallait que tu t'occupes. Voilà pourquoi hier soir son appartement était sens dessus dessous. Tant pis s'il te prenait pour un insolant, à ranger ses propres affaires, c'est déjà fait de toute façon. Depuis la fin des cours d'hier. Tu prias un silence pour que tout passe comme tu le prévoyais.


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